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Les 600.000 euros gagnés par Pénélope qui empoisonnent Fillon

Le kiosque de Thomas Sotto

25 janvier 2017

Episode - 00 minutes - Société

Description de l'épisode

Sophie Larmoyer, Eva Roque et Marguerite Lefebvre font le point sur l'actualité du jour.


 

La presse nationale pour commencer.

Ce matin, c'est Le Canard Enchaîné qui donne le tempo.

Avec ce titre "Les 600.000 euros gagnés par Pénélope qui empoisonnent Fillon".
En pages intérieures, l'épouse du candidat est présentée comme "une attachée parlementaire très détachée". Ce "job" d'attachée parlementaire lui aurait donc rapporté 500.000 euros.
Alors que dit Le Canard ? "Qu'entre 1998 et 2002" Penny (c'est le surnom de Mme Fillon), qui claironne dans la presse qu'elle est "juste une paysanne" se retrouve embauchée, sur le papier, en tant que "collaborateur de député". En l'occurrence "son cher époux François" et quand, en 2002, François Fillon est nommé Premier ministre, "c'est son suppléant , Marc Joulaud, qui va prendre le relais".
Bonne opération pour elle qui sera largement augmentée. Elle sera alors payée jusqu'à 7.900 euros par mois.
Problème : "dans les couloirs de l'Assemblée comme dans le fief de son mari, "personne n'a jamais croisé d'attachée parlementaire du nom de Pénélope Fillon".
Tout ça ressemble à un emploi fictif. L'autre assistante du député, interrogée par Le Canard, ne garde "aucun souvenir de sa collègue".

Une affaire que reprend Aujourd’hui en France qui cite un cadre Les Républicains : "Franchement ça va faire mal dans l'opinion. Ça casse son image, c'est de la mauvaise limonade".
"Ça n'a surtout rien d'illégal" insiste Benoit Apparu, le porte-parole du candidat.

Pendant ce temps, Le Figaro fait sa une sur le débat Hamon-Valls : "Un débat pour solder un quinquennat".

L'Opinion titre sur "la grande arnaque des "Anti système".

"C'est devenu un obligé des politiques : dénoncer le "système" permet surtout aux candidats à la présidentielle de s"exonérer de leurs responsabilités".

Un peu dans la même veine, Libération titre "Le Vrai du faux".

"Mensonges, rumeurs, calomnies, Donald Trump tout comme les tenants du Brexit ont fait entrer la communication politique dans une ère d'intox sans complexe où "les faits alternatifs", pour reprendre le terme de la porte-parole du président américain, supplantent l'information".

Heureusement qu'il y a le hand !

Et les bleus joyeux qualifiées pour les demi-finales du mondial de leur mondial.
Ils sont "Sur la voie royale" titre L'Équipe.

 

Sophie Larmoyer pour la presse internationale

À la Une de la presse étrangère, on s’intéresse à la Gambie, ce petit pays d’Afrique de l’Ouest enclavé dans les terres du grand Sénégal. La Gambie qui a un nouveau président, élu en décembre dernier, mais qui prend tout juste ses fonctions.

Oui parce que le précédent président, qui était au pouvoir depuis plus de 20 ans, s’y accrochait et il a fallu la pression diplomatique efficace des pays africains de la région et la pression militaire du Sénégal pour qu’il accepte finalement de quitter le pays et de partir en exil. C’était samedi dernier, après avoir semble-t-il, selon l’équipe qui arrive, vidé les caisses de l’État.

Enfin, le nouveau président, Adama Barrow, va pouvoir s’installer ! Il avait dû prêter serment la semaine dernière au Sénégal, dans l’ambassade de Gambie mais là, il est attendu dans les jours qui viennent, dans son pays.

Et c’est là que le protocole de la présidence devait résoudre un casse-tête : qui sera la 1ère Dame ? Car pour la 1ère fois le président est bigame !

Et ça fait l’objet d’un édito franchement savoureux dans Jeune Afrique, signé Damien Glez. "Un homme, une voix, un président, une première dame. Telles sont les règles de la démocratie à l’occidentale, même tropicalisée", écrit-il. Damien Glez s’amuse en notant que ce "casse-tête ne saurait, même en Europe, prendre la forme d’un jugement moral, les présidents occidentaux ayant habitué leurs administrés à la gestion plus ou moins conjointe de plusieurs "amoureuses"." Et en écrivant "Europe", l’éditorialiste pensait "France", il rappelle avec malice les "coups de cœur" de François Hollande, Nicolas Sarkozy ou François Mitterrand. "La bigamie d’Adama Barrow a le mérite d’être claire", écrit-il.

Mais pour le protocole, il a tranché, le nouveau président ?

Eh oui, il le fallait "Comme il est musulman", écrit Damien Glez, "il n’avait pas à suivre le principe biblique qui indique que "les derniers seront les premiers". Première arrivée, première "servie"". Adama Barrow a indiqué que sa première épouse serait aussi sa première dame. Problème réglé ! Et vous avez en prime sur europe1.fr un dessin car l’éditorialiste franco-burkinabé Damien Glez est aussi un très bon caricaturiste.

Et le nouveau président, Adama Barrow, vient de nommer comme vice-présidente une militante des droits des femmes !

Pour plus de détails, cliquez ici .

 

Eva Roque pour le programme télé

Un chef dans l’oreille à 16.55 sur France 2 du lundi au vendredi.

Comment créer un jeu autour de la cuisine sans une impression de déjà vu ?
France 2 a trouvé une formule avec cette émission présentée par Elodie Gossuin. Deux novices, pour ne pas dire "nuls", concoctent pendant une semaine des plats simples comme une omelette ou une blanquette. Pour les aider, deux chefs qui leur parlent et les guident via une oreillette.

Et c’est rock’n’roll. Une heure à cuisiner à deux sans être à côté, ça stresse. Le chef Yoni Saada a parfois du mal à ne pas élever la voix.

On rit, c’est rythmé. On s’attend à une catastrophe toutes les secondes de la part des candidats.
Et en même temps, on apprend des recettes faciles à reproduire et quelques tours de mains utiles.
C’est le programme parfait pour une après-midi. Sans prétention avec ce qu’il faut de bonne humeur.

Mais apparemment France 2 a déjà envisagée la fin de l’émission ?

Oui, la chaîne a commandé 25 numéros. Ensuite, un autre jeu sera proposé, sans doute encore une fois sur le thème de la cuisine.
Si les audiences d’Un chef dans l’oreille sont bonnes (plus de 460.000 téléspectateurs étaient réunis lundi soit plus qu’Amanda programmé précédemment dans cette case) une nouvelle salve d’émissions sera commandée.
TF1 fait pareil par exemple avec Money drop.

 

Marguerite Lefebvre pour la presse quotidienne régionale

Trois Unes dans la presse quotidienne régionale.

Un premier pas vers l'arrêt. L'Est républicain revient ce matin sur la fermeture possible de la centrale de Fessenheim. EDF a accepté la principe de l'indemnisation de l'État ce qui ouvre la porte au processus de fermeture.

La pollution à la Une de la Montagne. Clermont suffoque titre le quotidien avec cette photo des volcans d'Auvergne à moitiés cachés par un nuage de pollution. La région est en alerte depuis samedi dernier mais le journal regrette qu'aucune mesure n'ait encore été prise. Mesure comme la circulation alternée par exemple.

Et puis cette information dans la Provence. C'est une première, jamais elle ne s'était produite à Marseille. Céline Dion sera dans la cité phocéenne cet été. Réservez votre 18 juillet prochain, la chanteuse s'offre le Vélodrome.

L'histoire du jour, c'est celle d'une pause clope qui a un peu trop duré.

C'est le Maine Libre qui nous raconte cette histoire ce matin. Une cigarette sur un quai de gare entre deux arrêts, le train qui repart sans vous, ça peut arriver. Ce qui est plus embarrassant, c'est lorsque vous laissez votre nourrisson à l'intérieur de la rame.

Ça s'est passé lundi soir, dans un TGV Lille-Nantes. Au Mans, une jeune femme et son compagnon décident d'aller s'en griller une laissant leur bébé de sept mois dans le wagon.

Trois minutes plus tard, après plusieurs annonces dans la gare, le train repart. Les passagers du wagon donnent alors l'alerte mais impossible de faire demi-tour. C'est le contrôleur qui a dû jouer les baby-sitters jusqu'à Angers et qui a donné le relai aux policiers en attendant le couple qui est monté dans le train suivant.

Une fois arrivée, la mère a été entendue par la police. Elle n'avait pas l'intention d'abandonner son petit garçon, elle a pu le récupérer et s'en est sortie avec un simple avertissement.

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