Reprise des vols commerciaux à l'aéroport de Lille au plus tard le 15 juin

"C'est par une reprise très progressive que les compagnies Air France et Ryanair redémarreront leurs programmes de vols à l'aéroport de Lille", a indiqué l'aéroport (photo d'illustration).
"C'est par une reprise très progressive que les compagnies Air France et Ryanair redémarreront leurs programmes de vols à l'aéroport de Lille", a indiqué l'aéroport (photo d'illustration). © BERTRAND GUAY / AFP
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avec AFP
"C'est par une reprise très progressive que les compagnies Air France et Ryanair redémarreront leurs programmes de vols à l'aéroport de Lille", a ainsi indiqué l'aéroport dans un communiqué publié samedi matin, cinq jours après le début du déconfinement. 

Les vols commerciaux vont reprendre à l'aéroport de Lille au plus tard le 15 juin avec des vols des compagnies Air France et Ryanair vers Lyon et Marseille, a annoncé samedi l'aéroport dans un communiqué.

 

Lille-Lyon trois fois par semaine

"C'est par une reprise très progressive que les compagnies Air France et Ryanair redémarreront leurs programmes de vols à l'aéroport de Lille", a ainsi indiqué l'aéroport. A compter du 15 juin, "Air France reliera Lille à Lyon trois fois par semaine, avec des vols chaque lundi, vendredi et dimanche" et à compter du 23 juin, "Ryanair opérera deux vols chaque semaine, les mardis et samedis, vers Marseille". Une reprise des vols avant le 15 juin d'autres compagnies n'est pas à exclure, selon un porte-parole.

Air France table sur un retour progressif de ses vols, mais sans prévisions chiffrées à ce stade, tandis que Ryanair a annoncé mardi viser une reprise de 40% de ses vols en juillet.

D'autres annonces à venir

"D'autres annonces sont attendues dans les jours à venir", en fonction "de l'évolution positive de la situation sanitaire en France et en Europe", a précisé l'aéroport de Lille qui avait annoncé le 22 mars l'interruption du trafic des vols commerciaux après la suspension des vols des compagnies easyJet et Ryanair.  Il avait cependant maintenu un service minimum notamment "pour assurer la disponibilité des infrastructures pour les services d'urgence et de santé".