Les "Dieux du Stade" s'assagissent

© Sud-Ouest
  • Copié
Europe1.fr (avec AFP) , modifié à
RUGBY - L'édition 2011 du célèbre calendrier fait dans la sobriété.

RUGBY - L'édition 2011 du célèbre calendrier fait dans la sobriété. Numéro un dans le marketing en attendant de l'être de nouveau sur les pelouses de Top 14, le Stade Français ne va pas manquer de faire parler de lui ce jeudi avec la sortie de ce qui est devenu une institution au fil du temps : son célèbre calendrier "Dieux du Stade". Pour sa onzième édition, le précieux sésame aux plus de 200.000 ventes annuelles met en scène les rugbymen du club de la capitale et continue à s'ouvrir à de nouveaux horizons, le footballeur lillois et défenseur de l'équipe de France Adil Rami ayant répondu à l'invitation, à l'instar de la star du handball tricolore, Nikola Karabatic. Des sportifs en tout genre "shootés" par le photographe français François Rousseau, déjà auteur de l'édition 2004, l'une des plus appréciées des connaisseurs. Sept ans après une première expérience réussie au contact des Stadistes, le lauréat de la Villa Médicis a remis le couvert en axant la mouture 2011 sur la sobriété et une plus grande chasteté, seuls le rugbyman Benjamin Bouhy (Lyon) et le basketteur polonais Iwo Kitzinger se dévoilant un peu plus quand Dimitri Szarzewski et consorts posent partiellement habillés. Fini donc les poses lascives et les nus intégraux auxquels nous avaient habitués les dernières éditions. Que les amateurs du fameux calendrier se rassurent, ils pourront toujours se délecter des muscles débordants de leurs champions préférés dans un DVD qui sera disponible quatre jours après la sortie du calendrier. Tout en accomplissant une bonne action puisqu'une partie des bénéfices sera reversée à une oeuvre de bienfaisance. Ou comment mêler l'utile à l'agréable...