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Finale de la Ligue des champions : «Je suis en colère, on nous empêche de travailler», déclare Tony Gomez

Europe 1

Ce samedi, le PSG affronte l'Inter Milan en finale de la Ligue des champions, à Munich. À Paris, un important dispositif de sécurité sera mis en place, notamment sur les Champs-Élysées, où les restaurateurs et commerçants devront baisser leurs rideaux. Dans "On marche sur la tête", Tony Gomez, restaurateur, exprime sa colère.

Un des matchs les plus importants de l'histoire du Paris Saint-Germain aura lieu ce samedi 31 mai. Le PSG affrontera l'Inter Milan en finale de la Ligue des champions. Un match qui suscite l'inquiétude de la part des autorités quant aux risques de débordements dans la capitale à l'issue de la rencontre. Plus de 5.000 policiers seront mobilisés dans la capitale. 

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"On doit faire la fête et on nous empêche de travailler"

Autre mesure, les restaurateurs et commerçants devront fermer avant le coup d'envoi de la rencontre. Une situation qui provoque la colère de Tony Gomez, restaurateur sur la plus belle avenue du monde depuis 1999. Dans On marche sur la tête, il veut pousser "deux cris de colère". 

"Le premier, allez la France, vive le PSG. Mais le deuxième, c'est un cri de colère. Normalement, cette finale doit être une fête populaire, une fête tout court. On doit faire la fête et on nous empêche de travailler". Il estime également que les choses se sont dégradées "d'année en année". Il y avait des débordements avant, "mais ce n'était pas cette folie que l'on a maintenant. En tout cas, on ne nous fermait pas".