Le rapport choc de l’Observatoire de l’immigration et de la démographie : une école incapable de faire face à l'immigration massive
Parler correctement le français est une condition essentielle pour l’intégration, mais l’Éducation nationale peine à accompagner les enfants d’immigrés. Selon une note de l’Observatoire de l’immigration et de la démographie, l’arrivée massive d’élèves étrangers accentue les difficultés scolaires et oblige l’école à mettre en place des dispositifs spécifiques, tout en révélant des disparités selon les origines.
Parler français correctement est une condition essentielle pour devenir citoyen, mais l’Éducation nationale peine à le transmettre aux enfants d’immigrés. C’est ce que souligne une note de l’Observatoire de l’immigration et de la démographie publié ce vendredi 25 novembre.
Selon ce rapport, si l’immigration n’est pas la cause principale des difficultés de l’école, elle accentue les tensions et bouleverse le fonctionnement de l’institution, notamment en raison de l’arrivée massive d’élèves étrangers.
Une progression vertigineuse des élèves allophones
L’observatoire avance le chiffre de +153%, soit la progression vertigineuse du nombre d’élèves allophones depuis 2008 qui viennent s’asseoir sur les bancs de l’école Française.
Dans le détail, on est ainsi passé de 34.700 à 88.500. Un élève "nouvel arrivant" sur 5 n’a jamais été scolarisé avant d’avoir posé le pied sur le sol français.
Résultat l’Éducation nationale qui accueille tout le monde est obligée de créer des programmes spécifiques pour 90% des élèves concernés notamment du CE1 au CM2, des heures de cours en langue arabe pour la plupart. 50% des élèves issus de l’immigration ne parlent pas français à la maison non plus, ce qui n’arrange rien.
Les élèves originaires de certains pays d’Asie semblent mieux réussir que ceux venus du Maghreb, où le taux d’échec reste élevé. Conséquences, les résultats globaux de l’école française ne cessent de reculer.
L'islam au cœur des écoles française ?
Dernier point, l’Islam radical s’invite de plus en plus dans les classes avec l’apparition d’insultes comme Kouffar ou Gwer traduit par "mécréant" ou "occidental à la peau blanche".
Certains élèves au nom de leur culture refusent semble-t-il d’étudier Harry Potter qualifié de livre de sorcellerie ou d’écouter de la musique en particulier à l’occasion du Ramadan.