Frédéric Péchenard, ancien directeur de la police nationale et président du parti Les Républicains en Ile-de-France, affiche son soutien au maire de L'Haÿ-les-Roses. 1:36
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Europe 1 , modifié à
Invité de l'entretien de Sonia Mabrouk, Frédéric Péchenard, ancien directeur de la police nationale et président du parti Les Républicains en Ile-de-France, réagit face à l'attaque du domicile de Vincent Jeanbrun, maire de L'Haÿ-les-Roses. Il est ferme : les auteurs de ce drame seront "arrêtés" et "punis". 

Comme de nombreuses personnalités politiques, Frédéric Péchenard, ancien directeur de la police nationale et président du parti Les Républicains en Île-de-France, est sidéré par l'attaque du domicile de Vincent Jeanbrun, maire de L'Haÿ-les-Roses dans le Val-de-Marne. D'abord ami, mais aussi collègue au conseil régional depuis près de huit ans, Fréderic Péchenard affiche sa solidarité à cet édile, faisant partie de "ces jeunes maires qui sont l'avenir de la France". 

 

"Ceux qui ont fait ça, je vous le dis, ils seront arrêtés"

Selon le président du parti Les Républicains en Île-de-France, ce drame illustre les difficultés que doivent endurer les maires. "Je pense à Stéphanie qui a été agressée dans sa voiture, qui a été gravement blessée, la maire de Pontoise et à tant d'autres", se rappelle-t-il. Mais, ce qui frappe pour l'affaire de Vincent Jeanbrun, "c'est qu'on s'en prend à son domicile, à sa femme et à ses enfants", souligne Frédéric Péchenard.

 

C'est un acte "révoltant", pour lui et même "criminel". "Et ceux qui ont fait ça, je vous le dis, ils seront arrêtés. Ça prendra un mois, trois mois, ou bien six mois. Ils se retrouveront devant une cour d'assises par le procureur et les juges d'instruction. Cette tentative d'assassinat, c'est la réclusion criminelle à perpétuité", détaille avec fermeté Frédéric Péchenard au micro d'Europe 1. 

Pour lui, ces émeutiers liés à cette affaire ne comprendront pas ce qui leur arrive lors de leur future interpellation. "Donc je veux leur dire si vous voulez essayer de minimiser ce qui peut se passer, rendez-vous", ponctue le politique.