Nicolas Sarkozy : 76% des sympathisants LR rêvent du retour de l'ancien président de la République
Nicolas Sarkozy a été libéré, ce lundi 10 novembre, sous contrôle judiciaire, par la cour d'appel de Paris. L'ancien président a indiqué qu'il allait désormais mettre toute son énergie à préparer son procès en appel, prévu en mars prochain. Un ancien président qui a été très soutenu depuis sa condamnation en première instance.
Certains, à droite, se mettent à rêver de son retour en politique. Chez les sympathisants des Républicains, la majorité est encore plus écrasante puisque 76% souhaitent le retour de Nicolas Sarkozy en politique. Et s'il revenait ? Et si l'ancien chef de l'État jouait à nouveau un rôle politique de premier plan dans notre pays ? Beaucoup, chez les électeurs des Républicains, y sont favorables à l'image d'Eric, fasciné par la capacité de rebond de l'ancien président.
"Ce serait un sacré come-back. Je pense que c'est un combattant. Et s'il est sorti de prison aujourd'hui, c'est bien grâce à lui. Et à ses réseaux. Il a un charisme, il a les épaules. Et puis, il dégage quand même une grande assurance encore", assure Eric au micro d'Europe 1. Odile, elle, voit toujours un homme plein d'énergie, malgré ses 70 ans. "Je trouve que c'est un homme volontaire, qui sait ce qu'il veut, il a d'énormes qualités pour gouverner un pays. Il n'est pas trop vieux du tout. Et il l'a, l'énergie", déclare Odile.
Un homme politique qui a toujours une stature internationale
Au contraire, c'est un homme politique très expérimenté, à la stature internationale qui pourrait être très utile à la France, expriment ces militants. "Il pèse toujours à l'international parce que c'est quelqu'un qui sait parler avec ses interlocuteurs et quelqu'un qui défend toujours l'honneur de la France à l'étranger. Parce qu'en ce moment, notre pays n'est rien, on n'est considéré comme rien dans le monde", affirme Daniel.
Du coup, certains comme Odile pensent même à lui pour 2027. "S'il en a envie, pourquoi pas ? Moi, en tous cas, je ne serai pas contre", rêve Odile. Un horizon encore lointain mais possible pour certains, à droite.