France ou Maroc ? Gad Elmaleh a fait son choix pour le Mondial

Gad Elmaleh
Pour la Coupe du monde de football, Gad Elmaleh soutient le Maroc © AFP
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Solène Delinger , modifié à
La victoire du Maroc face à l'Espagne en huitième de finale de la Coupe du monde de football a laissé fous de joie tous les Marocains. Parmi eux, l'humoriste Gad Elmaleh qui a confié dans les colonnes du "Parisien" avoir eu "les larmes aux yeux" après le match. Le star a fait son choix : si le Maroc se retrouve face à la France en demi-finale, il soutiendra les Lions de l'Atlas, et non pas les Bleus...

Son cœur balançait entre deux équipes. Et pourtant, pour le Mondial 2022, Gad Elmaleh a dû faire un choix entre le Maroc, son pays d'origine, et la France, celui où il a connu ses premiers succès. Dans une interview accordée à nos confrères du Parisien mercredi 7 décembre, l'humoriste qui a la double nationalité marocaine et canadienne, a confié sa joie après la victoire des Lions de l'Atlas en huitième de finale face à l'Espagne. 

"Quand le Maroc joue, ce sont les racines qui parlent"

L'humoriste explique avoir eu "les larmes aux yeux" et s'est dit "bouleversé" par "l'élégance, la joie, l'humanité" des Lions de l'Atlas. Comme tous les Marocains, la star espère voir son équipe atteindre la finale de la Coupe du monde. "Les grandes choses dans la vie se sont faites parce qu’elles étaient folles, pas parce qu’elles étaient accessibles", souligne-t-il. Si l'équipe du Maroc se retrouve en demi-finale face à la France, Gad Elmaleh sait qui il soutiendra : "L’une va me donner de la joie, l’autre peut me faire pleurer. Quand le Maroc joue, ce sont les racines qui parlent, la fierté de voir des compatriotes hisser le drapeau du pays".

"Pas mal de personnes vont se retrouver face à un dilemme"

Le choix a été difficile pour Gad, qui poursuit : "Je ne vais pas vous raconter des salades. Je vais aller au bout de l’histoire. Mais je pense qu’il y a pas mal de personnes qui vont se retrouver face à un dilemme si ça arrive vraiment", reconnaît-il dans les colonnes du Parisien.