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G.P.
Après s’être penchée sur les deux grandes Guerres mondiales, la série historique s'intéresse à la Guerre froide et la chute du mur de Berlin.
INTERVIEW

Après s’être penchée sur les deux grandes Guerres mondiales, sur Hitler et Staline et puis sur la boucherie de Verdun, la série historique culte fait son retour avec Apocalypse la guerre des monde, par les deux réalisateurs Daniel Costelle et Isabelle Clark. Au programme, six documentaires de 52 minutes sur la Guerre froide. Les épisodes seront diffusés lors de deux soirées exceptionnelles, mardi soir à 21h10, avec la diffusion des trois premiers épisodes et mardi 12 novembre, avec les trois suivants.

"Le souffle du récit est plus proche du cinéma que du documentaire"

Dans quatre jours exactement, le 9 novembre 2019, le monde célébrera le 30e anniversaire de la chute du mur de Berlin. 155 km de long, 3 mètres 60 de haut, le symbole de la séparation entre deux mondes, l’ouest sous domination américain et l’est, communiste, sous domination soviétique. En tombant ce jour-là, c'est près de 40 ans de Guerre froide qui s'achève. Apocalypse la guerre des monde propose de revivre ce moment historique.

Les ingrédients qui ont fait le succès de la marque sont toujours là : 700 heures d’archives exhumées, restaurées et colorisées, des petites histoires de femmes et d’hommes qui racontent la Grande Histoire. "On emprunte les codes du cinéma", souligne le duo de réalisateur dans Culture médias. D'ailleurs, Daniel Costelle souligne : "je crois qu'il faut enlever le mot 'documentaire' au profit du mot 'film' ou 'cinéma'". "Le souffle du récit est plus proche du cinéma que du documentaire", ajoute Isabelle Clark.