La Miss Météo du Grand Journal se dit "assez solide" pour encaisser les critiques à son égard

La nouvelle Miss Météo du Grand Journal fait l’objet de nombreuses critiques depuis la rentrée.
La nouvelle Miss Météo du Grand Journal fait l’objet de nombreuses critiques depuis la rentrée. © AFP
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Dans un entretien accordé à "TV Mag", mercredi, la Miss Météo du "Grand Journal" sur Canal + répond aux critiques à son encontre.

Entre blagues jugées "transphobes", moments de solitude en plateau, et remarques déplacées aux invités, la nouvelle Miss Météo du Grand Journal fait l’objet de nombreuses critiques depuis la rentrée.

"Je n'étais pas du tout préparée".Dans un entretien accordé à TV Mag, mercredi, Ornella Fleury a dit ne pas imaginer recevoir de tels commentaires négatifs : "Personne ne peut s'attendre à ça. Je n'étais pas du tout préparée. Je savais que Le Grand journal serait scruté durant cette rentrée mais à ce point…". Pour se préserver, l'humoriste confie ne plus aller sur les réseaux sociaux depuis un mois.

"Ma vie continue, et elle va très bien". Ornella Fleury avoue ne pas avoir pris la mesure de l'ampleur des critiques au départ. "Quand j'ai capté, j'ai trouvé ça fou", précise-t-elle dans l'entretien à TVMag. J’ai du mal à concevoir que ma petite personne puisse brasser autant de bordel alors que je ne suis là que deux minutes par soir et que ce n’est que de l’humour finalement… Mais je suis assez solide pour encaisser et passer à autre chose. Ma vie continue, et elle va très bien".

La presse étrangère n'est pas tendre. La nouvelle miss météo avait été vivement critiquée pour ses blagues dirigées contre la journaliste transgenre Brigitte Boréale mais aussi pour une pique lancée contre l'acteur américain Jonah Hill. "J’ai un fantasme. Ce serait que l’on se retrouve tous les deux dans une chambre d’hôtel le soir, on discute, vous me faites beaucoup rire et là, d’un coup, vous ramenez vos potes Di Caprio et Brad Pitt et vous, vous partez", avait lâché Ornella Fleury. Ce dernier n'avait pas apprécié la boutade. Et la presse étrangère non plus.