Koh-Lanta : les sportifs à la peine

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Amélie Bertrand , modifié à
Complots, éliminations à la chaîne… Les sportifs ont du mal face à leurs adversaires.

Le combat Koh-Lanta entre d’anciens candidats et des sportifs de haut niveau, joué d’avance ? Pas vraiment. Car après quatre émissions, le constat est clair : les sportifs sont sous l’eau. Quatre d’entres eux sont déjà éliminés, contre un seulement dans l’équipe des ex-candidats.

Car si ces sportifs peuvent réaliser de véritables exploits physiques, ils deviennent inefficaces dès qu’il s‘agit de construire un radeau, de se ravitailler ou de déjouer les pièges naturels de l’île. Des techniques que la fine fleur de Koh-Lanta a appris à maîtriser lors de leur précédente aventure.

Les anciens champions tombent en plus dans les pièges des complots. Lors des épreuves, ils jouent l’unité de l’équipe et affichent une cohésion sans faille. Mais une fois rentrés sur leur île, chacun manigance sa propre stratégie pour sauver sa peau. Ainsi, malgré une belle performance sur l’épreuve d’apnée, Gwendal Peizerat a été éliminé vendredi dernier, par le champion de roller Taïg Khris.

Ils se sont expliqués chez Jean-Marc Morandini :

Néanmoins, Gwendal Peizerat, ancien champion de danse sur glace, garde globalement un bon souvenir de cette aventure. "Je n’ai aucun regret. J’ai vécu ça de façon intense. Je voulais y participer pour l’aventure. Je n’avais jamais vécu des conditions comme celles-là".

Des exploits sportifs oubliés pour un maillot

Taïg Khris garde lui aussi un très bon souvenir de l’émission. "Je n’ai jamais voulu faire d’émission de télé-réalité, à part Koh-Lanta. Parce que c’est du vrai, c’est de l’aventure. J’avais envie de voir comment je réagirais dans cette situation. Et puis les épreuves sont marrantes, même sis certaines sont très difficiles".

Le champion de roller avoue néanmoins être quelque peu déçu que ses performances sportives soient occultées par son maillot de bain, blanc et particulièrement moulant, qui a fait le tour des journaux people.

"C’est clair que c’est un peu dur. Quand on est sur une aventure comme ça, on veut que les médias montrent notre situation difficile. Ne pas manger pendant des jours, passer toutes ces épreuves, nager avec les requins, avoir des scorpions qui nous montent dessus la nuit, passer des jours sous la pluie… C’est vraiment dur. Et au final pour voir que la seule chose dont on parle, c’est la couleur de mon maillot, c’est un peu triste".