Bachar al-Assad a atteint "un point de non retour", a estimé lundi le ministre français des Affaires étrangères, Alain Juppé, doutant que le président syrien soit en mesure de s'amender après la répression "inouïe" imposée à son peuple.
Bachar al-Assad a atteint "un point de non retour", a estimé lundi le ministre français des Affaires étrangères, Alain Juppé, doutant que le président syrien soit en mesure de s'amender après la répression "inouïe" imposée à son peuple.