Chaque matin, Samuel Etienne revient sur ce qui fait la Une des quotidiens nationaux.
Et ce titre qui interpelle en Une du Parisien-Aujourd’hui en France : "Pourquoi l'école recrute au rabais".
Constat du journal : le métier d'enseignant ne fait plus rêver. Résultat, le niveau des candidats est en baisse, notamment dans les académies les moins attractives qui ont de plus en plus de mal à recruter.
Alors que l'on se lamente sur l'incapacité de l'école française à remédier aux lacunes de ses élèves les plus fragilisés, Le Parisien pose la question : "Si on cessait de décortiquer les notes des enfants pour s'intéresser aux performances de leurs professeurs ? La question est taboue, et pourtant, au risque de marteler une évidence, ce sont les enseignants qui font la qualité de l'enseignement. Le Parisien estime notamment qu'il faudrait rendre leur formation continue obligatoire. En quelque sorte, renvoyer les profs à l'école.
J-6 jours avant le 1er tour de la Primaire à droite.
Et, après ce qui vient de se passer aux États-Unis, tout le monde se demande si le résultat ne cette primaire ne va pas déjouer tous les pronostics et tous les sondages.
C'est désormais vers François Fillon que les regards se tournent.
Le Figaro publie ce matin un sondage Sofres-One Point qui donne l'ancien Premier ministre en forte hausse de sept points.
Alors même que l'écart se resserre entre Juppé et Sarkozy.
Et si c'était lui ? Lui Fillon qui représentait la droite à la présidentielle ? Yves Thréard se posera la question dans un instant dans son édito.
Présidentielle encore : ce matin L'Opinion en est persuadé, Manuel Valls va y aller.
Le Premier ministre va se présenter à la primaire, et ce, quoi que décide François Hollande.
Un de ses proches confie : "Il est déterminé à y aller".
Allez, présidentielle encore.
Celle qui vient de se dérouler aux États-Unis.
Il y a quelques heures, le président élu Trump s'est adressé aux manifestants qui défilent contre lui : "N'ayez pas peur".
C'est la Une de Libération ce matin : "Le Front anti-Trump".
Sur le front d'une manifestante justement, ce slogan écrit au marqueur : "Not my president".
