Jusqu’où ira Eric Zemmour ? Quel score pour le débat Trump/Biden en France ? Pourquoi Google veut-il offrir un milliard d’euros à la presse ?
Google propose un milliard de dollars à la presse du monde entier qui lui reproche de ne pas la rémunérer pour les articles qui sont repris dans son moteur de recherche. Mardi soir, Eric Zemmour a tenu des propos révoltants sur CNews qui a réitéré ce jeudi face à Christine Kelly qui s'est désolidarisé de son discours. Près de 205.000 Français ont suivi le débat qui a opposé Donald Trump à Joe Biden dans la nuit de mercredi à jeudi.Un nouveau dérapage d’Eric Zemmour sur CNews.Il y a une semaine à peine, il était condamné à 10.000 euros d’amende pour injure et incitation à la haine. On ne sait pas si c’est ça qui a poussé Eric Zemmour à bout, mais mardi soir, dans "Face à l’info" sur CNews, il a prononcé ces propos révoltants.Ce jeudi, SOS Racisme a saisi le CSA et porté plainte contre l’éditorialiste, et le parquet de Paris a ouvert une enquête pour "provocation à la haine raciale" et "injures publiques à caractère raciste". Les condamnations ont été multiples, qu’il s’agisse de la Ministre déléguée auprès du Premier ministre chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes, Elisabeth Moreno, ou d’Eric Dupont-Moretti. Le Garde des Sceaux, invité ce jeudi de "C à vous", n’a pas mâché ses mots.Ça a grondé au sein de CNews-même.La Société des rédacteurs de la chaîne info s’est fendu d’un communiqué dans laquelle elle se désolidarise d’Eric Zemmour. "Nous condamnons avec la plus grande fermeté les propos tenus", indiquent les journalistes. Ce qui est étonnant dans ce communiqué, c’est que les propos incriminés sont condamnés en deux ou trois lignes, que jamais la présence d’Eric Zemmour à l’antenne n’est remise en question, et que le reste du communiqué consiste à défendre la qualité du travail des journalistes et à demander aux téléspectateurs de ne pas boycotter la chaîne. En même temps, le son de cloche est similaire du côté du "Figaro", où Eric Zemmour travaille. Les journalistes soulignent que les propos tenus sont contraires à la Charte de déontologie signée par tous les collaborateurs. Ils regrettent que le précédent rappel à l’ordre de la direction n’ait pas été entendu et ils exigent un nouveau rappel à l’ordre. Eric Zemmour doit trembler.Comment se défend CNews ?Ce jeudi, on a évidemment essayé de joindre CNews. Pas de prise de parole, on nous a simplement renvoyé vers "Face à l’info". À 19h, Christine Kelly a évoqué le sujet au tout début de l’émission. Un autre extrait de l’émission du mardi a été diffusé, où Eric Zemmour revient sur les propos incriminés. Histoire de se dédouaner. Mais de retour en plateau, Eric Zemmour maintient son propos : selon lui, il faut virer tous les migrants isolés, parce qu’on ne peut pas savoir lesquels sont violeurs, voleurs ou assassins. Du côté du CSA, qu’est-ce qui se passe ?Un rapporteur indépendant a été saisi, mais pas de prise de parole, le Conseil supérieur de l’audiovisuel a indiqué qu’une instruction était en cours et qu’il n’y aurait donc aucun commentaire. Mais le sujet est sérieux. Car "Face à l’info" n’est plus diffusé en direct, et la chaîne est donc responsable des propos tenus car leur diffusion fait office de validation. On n’est pas dans le cas d’un dérapage du direct. Ce n’est pas le premier dérapage d’Eric Zemmour sur CNews, Bertrand Chameroy vous en parlera tout à l’heure, mais celui-ci pourrait bien être le dérapage de trop...Le débat entre Joe Biden et Donald Trump a cartonné à la télévision américaine, mais pas seulement.Ce jeudi matin, nous vous donnions les chiffres d’audience aux États-Unis du débat qui a opposé les deux candidats à la présidentielle outre-Atlantique. 73 millions d’Américains étaient branchés devant l’une des seize chaînes qui proposaient de suivre les 90 minutes de débat. Alors évidemment, chez eux, c’était en prime time.Chez nous, décalage horaire oblige, il fallait se brancher devant les chaînes info à partir de 3h du matin pour assister au débat. Et il y avait encore pas mal de monde, toutes proportions gardées. Dans le détail, BFMTV a fait le plein et s’est classée première chaîne de France sur la case avec 109.000 téléspectateurs de 3h à 4h30 du matin, pour 11% de part d’audience. C’est LCI qui s’est classée deuxième grâce à 55.000 personnes, devant franceinfo à 22.000 téléspectateurs et CNews est dernière à 19.000 téléspectateurs.Si on additionne tout ça, il y avait quand même 205.000 Français branchés sur l’une des chaînes info pour suivre l’affrontement Trump/Biden. Et qui sont arrivés très fatigués au travail ce jeudi matin !Le geste de Google envers la presse.Un milliard de dollars. Voilà ce que Google propose à la presse du monde entier. Si le géant du web ouvre son porte-feuilles, c’est parce qu’il est attaqué de toutes parts par la presse, qui lui reproche de ne pas la rémunérer pour les articles qui sont repris dans son moteur de recherche. La presse estime créer de la valeur pour Google, et Google répond qu’il envoie tellement d’internautes vers les sites de presse qu’il ne devrait pas les rémunérer.Un bras de fer s’est entamé dans plusieurs pays, y compris en France où la profession attend la semaine prochaine un jugement qui pourrait forcer Google à négocier sur cette rémunération. Et c’est dans ce contexte que Google sort ce milliard de dollars de son chapeau ?Oui, l’entreprise souhaite mettre en avant des médias qui produisent du "contenu de qualité" et leur offrir un écrin baptisé "Google News Showcase" mais aussi une rémunération. Plus de 200 titres auraient déjà accepté ce partenariat offert par Google, dont le “Spiegel” ou le “Zeit” en Allemagne, mais en France, on se montre sceptique. Car la question est simple : la part française de ce milliard offert à la presse internationale correspond-elle à ce que les titres de l’Hexagone estiment mériter pour leurs contenus ? Et qu’en est-il des médias dont le contenu ne serait pas considéré assez qualitatif pour être mis en avant par Google ? De toute évidence, la décision du 8 octobre prochain aidera la presse française à y voir plus clair.
En savoir plus
Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, le Conseil d’Etat étudiera les ultimes recours déposés par C8 et NRJ12 avant que les chaînes ne cessent d’émettre sur la TNT, l’autre moitié du casting de "Danse avec les stars" va faire ses premiers pas sur le parquet, les 40 ans des Victoires de la musique et l’émission Drag Race accueillera deux nouveaux jurés.<br />
14 février 2025

Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, un point sur les discussions entre DAZN et la Ligue de football professionnel, BFMTV a procédé à plusieurs changements dans sa grille ces dernières semaines et pourrait recruter Anne-Sophie Lapix pour la saison prochaine, le nouvel épisode d’Envoyé Spécial suscite des vives réactions dans la sphère politique alors qu’il n'a même pas encore été diffusé et Michel Drucker sera officiellement commandeur de la légion d’honneur.<br />
13 février 2025

Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, la chaîne DAZN menace de ne pas verser la quatrième échéance prévue dans son contrat, le Conseil d’Etat rendra son ultime verdict ce vendredi concernant le sort de C8, TF1 diffusera prochainement une nouvelle série policière inspirée de la mécanique de "Columbo" intitulée "Joseph" et TF1 diffusera en prime le spectacle "Au pays des Enfoirés" le 7 mars.<br />
12 février 2025

Stars et paillettes avec le dîner des nommés aux Césars et la préparation des Oscars
Chaque matin, dans Culture Médias, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, Europe 1 était au dîner des nommés aux Césars, Disney + a révélé les présentatrices pour les Oscars et l'IA sur France 2.
11 février 2025

Une nouvelle émission sur M6 et le podcast Europe 1 «Destins extraordinaires» sur Dalida
Chaque matin, dans Culture Médias, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, le retour de Bertrand Chameroy dans "C à vous", la nouvelle émission de M6 "A quel prix ?" et le nouveau podcast Europe 1 "Destins extraordinaires" sur Dalida.
10 février 2025

Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, "Danse avec les stars" revient ce soir en prime sur TF1 pour sa 14 ème saison, le Super Bowl aura lieu dimanche, Cyril Hanouna a réagi à l’article de Marianne prétendant que l’animateur songerait à l’élection présidentielle et Emmanuel Macron accordera dimanche une interview exclusive à France 2 et au média indien "Firstpost".<br />
7 février 2025

C'est déjà fini pour Merwane Benlazar dans «C à vous» et Karine Le Marchand qui pourrait quitter M6
Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, c’est déjà fini pour le nouveau chroniqueur de "C à vous" Merwane Benlazar, Karine Le Marchand pourrait quitter M6, la saison 2 de « Mademoiselle Holmes » avec Lola Dewaere sera diffusée dès ce soir en prime sur TF1 et la belle-fille de Donald Trump va animer une émission sur Fox News.<br />
6 février 2025

Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, l'émission "Koh-Lanta" qui revient bientôt sur TF1, Cyril Hanouna devrait présenter TPMP pour la toute dernière fois le jeudi 27 février, cette dernière de TPMP sera suivie d’une émission intitulée "TPMP toute la vérité".<br />
5 février 2025

Les audiences du mois de janvier et le retour de l’émission «Qui est qui ?»
Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, les audiences du mois de janvier, le retour de l’émission "Qui est qui ?", l’association PETA qui défend les animaux a demandé à la chaîne TF1 de supprimer les plumes d’oiseaux dans "Danse avec les stars" et Juliette Binoche présidera le jury du Festival de Cannes cette année.<br />
4 février 2025

L’Arcom a changé de directeur et le retour de «Bref»
Du lundi au vendredi, Julien Pichené fait le point sur l'actualité des médias. Aujourd'hui, l’Arcom a changé de directeur ce week-end, on connaît la date de retour de la short-com "Bref", l’alliance entre le Guide Michelin et Top Chef ne plaît pas à tout le monde et "L’art du crime" revient avec un nouvel épisode diffusé en prime ce soir sur France 2.<br />
3 février 2025
Google propose un milliard de dollars à la presse du monde entier qui lui reproche de ne pas la rémunérer pour les articles qui sont repris dans son moteur de recherche. Mardi soir, Eric Zemmour a tenu des propos révoltants sur CNews qui a réitéré ce jeudi face à Christine Kelly qui s'est désolidarisé de son discours. Près de 205.000 Français ont suivi le débat qui a opposé Donald Trump à Joe Biden dans la nuit de mercredi à jeudi.
Un nouveau dérapage d’Eric Zemmour sur CNews.
Il y a une semaine à peine, il était condamné à 10.000 euros d’amende pour injure et incitation à la haine. On ne sait pas si c’est ça qui a poussé Eric Zemmour à bout, mais mardi soir, dans "Face à l’info" sur CNews, il a prononcé ces propos révoltants.
Ce jeudi, SOS Racisme a saisi le CSA et porté plainte contre l’éditorialiste, et le parquet de Paris a ouvert une enquête pour "provocation à la haine raciale" et "injures publiques à caractère raciste". Les condamnations ont été multiples, qu’il s’agisse de la Ministre déléguée auprès du Premier ministre chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes, Elisabeth Moreno, ou d’Eric Dupont-Moretti. Le Garde des Sceaux, invité ce jeudi de "C à vous", n’a pas mâché ses mots.
Ça a grondé au sein de CNews-même.
La Société des rédacteurs de la chaîne info s’est fendu d’un communiqué dans laquelle elle se désolidarise d’Eric Zemmour. "Nous condamnons avec la plus grande fermeté les propos tenus", indiquent les journalistes. Ce qui est étonnant dans ce communiqué, c’est que les propos incriminés sont condamnés en deux ou trois lignes, que jamais la présence d’Eric Zemmour à l’antenne n’est remise en question, et que le reste du communiqué consiste à défendre la qualité du travail des journalistes et à demander aux téléspectateurs de ne pas boycotter la chaîne. En même temps, le son de cloche est similaire du côté du "Figaro", où Eric Zemmour travaille. Les journalistes soulignent que les propos tenus sont contraires à la Charte de déontologie signée par tous les collaborateurs. Ils regrettent que le précédent rappel à l’ordre de la direction n’ait pas été entendu et ils exigent un nouveau rappel à l’ordre. Eric Zemmour doit trembler.
Comment se défend CNews ?
Ce jeudi, on a évidemment essayé de joindre CNews. Pas de prise de parole, on nous a simplement renvoyé vers "Face à l’info". À 19h, Christine Kelly a évoqué le sujet au tout début de l’émission. Un autre extrait de l’émission du mardi a été diffusé, où Eric Zemmour revient sur les propos incriminés. Histoire de se dédouaner. Mais de retour en plateau, Eric Zemmour maintient son propos : selon lui, il faut virer tous les migrants isolés, parce qu’on ne peut pas savoir lesquels sont violeurs, voleurs ou assassins.
Du côté du CSA, qu’est-ce qui se passe ?
Un rapporteur indépendant a été saisi, mais pas de prise de parole, le Conseil supérieur de l’audiovisuel a indiqué qu’une instruction était en cours et qu’il n’y aurait donc aucun commentaire. Mais le sujet est sérieux. Car "Face à l’info" n’est plus diffusé en direct, et la chaîne est donc responsable des propos tenus car leur diffusion fait office de validation. On n’est pas dans le cas d’un dérapage du direct. Ce n’est pas le premier dérapage d’Eric Zemmour sur CNews, Bertrand Chameroy vous en parlera tout à l’heure, mais celui-ci pourrait bien être le dérapage de trop...
Le débat entre Joe Biden et Donald Trump a cartonné à la télévision américaine, mais pas seulement.
Ce jeudi matin, nous vous donnions les chiffres d’audience aux États-Unis du débat qui a opposé les deux candidats à la présidentielle outre-Atlantique. 73 millions d’Américains étaient branchés devant l’une des seize chaînes qui proposaient de suivre les 90 minutes de débat. Alors évidemment, chez eux, c’était en prime time.
Chez nous, décalage horaire oblige, il fallait se brancher devant les chaînes info à partir de 3h du matin pour assister au débat. Et il y avait encore pas mal de monde, toutes proportions gardées.
Dans le détail, BFMTV a fait le plein et s’est classée première chaîne de France sur la case avec 109.000 téléspectateurs de 3h à 4h30 du matin, pour 11% de part d’audience. C’est LCI qui s’est classée deuxième grâce à 55.000 personnes, devant franceinfo à 22.000 téléspectateurs et CNews est dernière à 19.000 téléspectateurs.
Si on additionne tout ça, il y avait quand même 205.000 Français branchés sur l’une des chaînes info pour suivre l’affrontement Trump/Biden. Et qui sont arrivés très fatigués au travail ce jeudi matin !
Le geste de Google envers la presse.
Un milliard de dollars. Voilà ce que Google propose à la presse du monde entier. Si le géant du web ouvre son porte-feuilles, c’est parce qu’il est attaqué de toutes parts par la presse, qui lui reproche de ne pas la rémunérer pour les articles qui sont repris dans son moteur de recherche. La presse estime créer de la valeur pour Google, et Google répond qu’il envoie tellement d’internautes vers les sites de presse qu’il ne devrait pas les rémunérer.
Un bras de fer s’est entamé dans plusieurs pays, y compris en France où la profession attend la semaine prochaine un jugement qui pourrait forcer Google à négocier sur cette rémunération.
Et c’est dans ce contexte que Google sort ce milliard de dollars de son chapeau ?
Oui, l’entreprise souhaite mettre en avant des médias qui produisent du "contenu de qualité" et leur offrir un écrin baptisé "Google News Showcase" mais aussi une rémunération. Plus de 200 titres auraient déjà accepté ce partenariat offert par Google, dont le “Spiegel” ou le “Zeit” en Allemagne, mais en France, on se montre sceptique. Car la question est simple : la part française de ce milliard offert à la presse internationale correspond-elle à ce que les titres de l’Hexagone estiment mériter pour leurs contenus ? Et qu’en est-il des médias dont le contenu ne serait pas considéré assez qualitatif pour être mis en avant par Google ? De toute évidence, la décision du 8 octobre prochain aidera la presse française à y voir plus clair.

Europe 1
Les plus grandes vedettes françaises et internationales sont à l’honneur dans cette série de podcasts. A travers des récits inédits, des interviews exclusives et les archives exceptionnelles d’Europe 1, replongez dans les « destins extraordinaires » parfois semés d’obstacles mais toujours couronnés de succès de ces icônes légendaires qui ont marqué des générations entières.

Maël Hassani
Tous les soirs, Maël Hassani vous livre le concentré de l'actualité du jour, tout en gardant un œil sur les événements à venir avec les Unes de la presse du lendemain.

Europe 1
"Au Cœur du Crime" vous propose de (re)découvrir en podcast des anciennes séries policières. Chaque mardi et chaque vendredi, écoutez un nouvel épisode intense et immersif ”Crime Story”, inspiré des grands romans policiers anglo-saxons et incarné par la célèbre voix de Serge Sauvion, doubleur de l’acteur Peter Falk. Chaque dimanche, vous retrouverez désormais “le siffleur”. Cette série policière diffusée sur Europe 1 dans les années 60, met en scène des personnages pris dans un engrenage infernal ou dont le destin est proche de basculer… <br /> <br /> “Au Coeur du Crime” est disponible sur le site et l’application Europe 1 ainsi que sur toutes les plateformes d’écoute.<br />

Au Cœur de l'Histoire - Virginie Girod
Virginie Girod
Découvrez l’Histoire de France et du monde avec l’historienne Virginie Girod dans cette nouvelle saison du podcast "Au Cœur de l’Histoire" ! Embarquez pour un voyage dans le temps inédit sur fond de musiques originales, pour une immersion totale à la manière de la fiction audio. Virginie Girod met en lumière des personnages historiques inspirants et lève le voile sur des époques essentielles de l’Histoire. Origines des guerres, complots, vies d’artistes, politiciens, pionniers, retrouvez de nouveaux épisodes tous les jours sur une variété de sujets allant de l’Antiquité à nos jours. Les lundis, mardis, jeudis et vendredis, plongez dans des récits 100% immersifs, puis chaque mercredi et samedi Virginie Girod vous propose une interview inédite avec un invité historien, chercheur, journaliste, pour en apprendre encore plus. "Au Cœur de l’Histoire" est une production Europe 1 Studio.

Julien Pichené
"Au Coeur de l'Actu", c'est le podcast de la rédaction d'Europe 1 qui vous éclaire sur les sujets qui font l'actualité. Découvrez nos formats courts "10 minutes pour tout savoir" et nos séries documentaires, enrichis avec les archives de la radio.

Olivier Delacroix
Au cœur de la nuit, les auditeurs se livrent en toute liberté aux oreilles attentives et bienveillantes d'Olivier Delacroix, du lundi au jeudi, et de Valérie Darmon, du vendredi au dimanche. Pas de jugements ni de tabous, une conversation franche mais aussi des réponses aux questions que les auditeurs se posent. Un moment d'échange et de partage propice à la confidence pour repartir le cœur plus léger. Si vous aussi vous souhaitez témoigner, laissez vos coordonnées en appelant Europe 1 au : 01 80 20 39 21 (numéro non surtaxé).

Ombline Roche
Tous les soirs du lundi au vendredi entre 22h15 et 22h30 Ombline Roche vous plonge dans les musiques des années Top 50 sur Europe 1. Et si vous en voulez plus, rendez-vous les samedis et dimanches entre 21h et 22h !

Dimitri Pavlenko
Deux heures de direct à l'écoute de celles et ceux qui font le monde : le raconter, le décrypter et l'analyser pour donner des clés de lecture et de compréhension aux auditeurs.

Pierre de Vilno
Le tour complet de l'actualité en compagnie de Pierre de Vilno et de la rédaction d'Europe 1 de 19 heures à 21 heures.

Hervé Mathoux
Chaque parcours de vie est constitué de réussites mais aussi… d’échecs. Bien souvent, ceux-ci nous renforcent et nous apprennent autant, si ce n’est plus que les succès. Dans cette nouvelle série d’entretiens, le journaliste Hervé Mathoux évoque avec son invité ses plus beaux "accidents". Première personnalité à se plier à l’exercice : l’acteur Denis Podalydès, sociétaire de la comédie française.