Six mois après avoir repris la starlette Nabilla sur le sujet, l'Autorité des marchés financiers (AMF) est montée au filet vendredi pour rappeler au tennisman Gaël Monfils les risques des crypto-monnaies.
Dans une interview au Parisien, le joueur évoque son intérêt pour la finance, notamment les monnaies virtuelles. S'il sait qu'elles peuvent "faire peur au grand public", Gaël Monfils soutient qu'"il suffit de s'y intéresser vraiment pour avoir des réponses, même si c'est plus volatil qu'une action normale ou un fonds d'investissement".
"Très risqué". "Plus facile de gagner des matchs à #RolandGarros que de gagner de l'argent en tradant des crypto-actifs ? L'AMF rappelle à @Gael_Monfils que c'est au mieux très risqué, au pire une arnaque", lui a répondu sur Twitter le gendarme de la finance.
Plus facile de gagner des matchs à #RolandGarros que de gagner de l’argent en tradant des crypto-actifs ? L’AMF rappelle à @Gael_Monfils que c’est au mieux très risqué, au pire une arnaque @le_Parisien#bitcoin#cryptomonnaie#RG18: https://t.co/muKroqfEDehttps://t.co/waZvT3pBwK
— AMF (@AMF_actu) 25 mai 2018
Une première mise en garde à Nabilla. En janvier, c'est dans une réponse à Nabilla que l'AMF avait lancé un avertissement sur le bitcoin, présenté par la starlette comme "vraiment sûr" et "vraiment cool": "#Nabilla Le #Bitcoin c'est très risqué ! On peut perdre toute sa mise. Pas de placement miracle. Restez à l'écart".