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nadine morano - Toute l'info et l'actualité sur Europe 1.
nadine morano - Toute l'info et l'actualité sur Europe 1.
Evincée de la campagne des régionales à cause de sa sortie sur la "race blanche", Nadine Morano s'est dite convaincue dimanche que "l'esprit du gaullisme" était "en train de s'éteindre chez les Républicains".
Le patron des Républicains estime que son maintien en Meurthe-et-Moselle pour les régionales aurait "conduit à fragiliser" ses colistiers.
La présidente du FN réagissait à l'éviction de Nadine Morano de liste de droite dans l'Est.
Nadine Morano a conscience que beaucoup de gens l'apprécient pour ce qu'elle est.
Le chef de l'Etat a justifié l'éviction de son ancienne ministre lors d'un meeting à Béziers.
Nadine Morano, invitée de TF1 après son exclusion de la liste de droite pour les élections régionales dans l'est, a estimé jeudi que Nicolas Sarkozy faisait "une faute politique majeure".
Sarkozyste pur jus, l'adjointe au maire de Nancy est en froid avec l'eurodéputée évincée.
L'eurodéputée réagira à la décision de son parti de lui retirer son investiture pour les élections régionales.
Le président de l’UDI s’est félicité de l’éviction de Nadine Morano des régionales de 2015. Et lui a refusé la référence au général De Gaulle.
L’eurodéputée a été dépossédée mercredi soir de son statut de tête de liste en Meurthe-et-Moselle pour les régionales de 2015. Pourtant, le président des Républicains a tout fait pour la convaincre.
L'eurodéputée ne s'est pas excusée pour ses propos sur la "race blanche". Elle perd ainsi son investiture Les Républicains aux régionales en Meurthe-et-Moselle au profit de l'ex-députée Valérie Debord.
Violences chez Air France, clichés sexistes dans les manuels scolaires, et "l'affaire" Morano,voici les trois sujets qui vous ont fait réagir ce midi. Retrouvez-vous Allô Jean-Michel du lundi au vendredi à 13 heures 13 sur Europe 1.
Le chef de l'Etat a tout tenté pour sauver la tête de son ancienne protégée.
Le maire de Nice était l'invité d'Europe 1, mercredi matin. Il est aussi le président de la commission nationale d'investiture des Républicains, qui va se pencher sur le cas Morano.
AGENDA - Voici les principaux événements du mercredi 7 octobre.
L'affaire Morano a réveillé les tensions entre et Jean-François Copé et Nicolas Sarkozy, sur fond d'affaire Bygmalion.
Le président des Républicains, a demandé à Nadine Morano, mardi d'exprimer des "regrets" pour avoir dit que la France était "un pays de race blanche", auquel cas elle pourrait conserver son investiture régionale en Meurthe-et-Moselle.
Le sénateur de la Vienne et ancien Premier ministre était l'invité d'Europe 1.
Le cas de l'eurodéputée sera évoqué mercredi par la commission d'investitures. Mais son lobbying, lui, a déjà commencé.
Une majorité de sondés pensent que les responsables des Républicains ont "des positions proches" de celles du FN. Et la cote de l’eurodéputée touche le fond.
Le candidat Hollande avait promis de supprimer ce terme de la Constitution. Plus facile à dire qu’à faire.
La présidente du Front national s'est démarquée des propos de l'eurodéputée Les Républicains.
Malgré le désaveu de Nicolas Sarkozy, certains soutiennent toujours l'eurodéputée, en plaidant la maladresse.
"Marianne n'a pas de race, pas de couleur", a lancé le Premier ministre en réponse à la déclaration d'une députée réunionnaise ovationnée par les socialistes.
Evincée mercredi de la liste Les Républicains dans le Grand Est aux régionales, l'eurodéputée flingue à tout va.
Les députés Front de Gauche ont réclamé mercredi que le gouvernement inscrive à l'ordre du jour du Sénat le proposition de loi supprimant le mot "race" de la législation.
Le patron des Républicains espérait que la polémique s'éteindrait d'elle-même. Mais la sortie de Morano sur Europe 1 l'a convaincu qu'il fallait trancher dans le vif.
L'Eurodéputée LR a crée un groupe de travail pour un nouveau dialogue avec la Russie.
L'eurodéputée LR est critiquée au sein même de sa famille politique pour ses propos sur "la France de race blanche". Elle s'est expliquée mercredi sur Europe 1.
Le président d'honneur du FN dénonce la 'gauchisation des esprits' dans les rangs de l’ex-UMP".