Date de création : 17 novembre 2002 (UMP) changement de nom le 30 mai 2015
Fondateurs : Jacques Chirac et Alain Juppé
Président : Laurent Wauquiez
Positionnement : Droite
Nombre de députés : 103/577
Nombre de sénateurs : 146/348
Date de création : 17 novembre 2002 (UMP) changement de nom le 30 mai 2015
Fondateurs : Jacques Chirac et Alain Juppé
Président : Laurent Wauquiez
Positionnement : Droite
Nombre de députés : 103/577
Nombre de sénateurs : 146/348
Au second tour de la primaire de droite, l'ancien chef de l'Etat l'emporterait avec 52% des voix, devant Alain Juppé qui en récolterait 48%.
Antonin André, aux côtés des grandes voix Arlette Chabot, Olivier Duhamel et Robert Namias reçoit Hervé Gaymard,député Les Républicains de Savoie, ancien ministre et auteur de "Bonheur et grandeur, ces journées où les Français ont été heureux" (éd. Perrin). Retrouvez...
L'ancien chef de l'Etat est en voyage en Russie où il doit rencontrer Vladimir Poutine jeudi.
Pour Jean-Christophe Cambadélis, le maire de Bordeaux "est le grand absent" de la campagne des élections régionales. Une attaque justifiée ou pas ?
Le président syrien a reçu trois députés français de droite, dont Jean-Frédéric Poisson, candidat à la primaire LR.
De nombreux militants préfèrent soutenir directement leur candidat pour la primaire, plutôt que de prendre leur carte chez Les Républicains.
Marine Le Pen, Xavier Bertrand et Pierre de Saintignon ont débattu sur Europe 1 pendant plus d’1h45. Avec énergie, mais pas sans quelques erreurs…
Marine Le Pen (FN), Xavier Bertrand (LR) et Pierre de Saintignon (PS) ont débattu pendant 1h30, en direct sur Europe 1.
Le député de l'Eure compte se lancer dans la bataille dès le soir du second tour des régionales, mi-décembre.
Selon un sondage BVA, le parti de Nicolas Sarkozy serait le grand gagnant, avec le FN, du scrutin de décembre prochain.
Marie-Ange Meyer, élue Les Républicains, avait écrit dans un commentaire Facebook : "qu'elle reparte dans sa brousse, les lianes l'attendent", à propos de la ministre de la Justice.
MON FAVORI - Le maire Les Réublicains de Marseille Jean-Claude Gaudin a réaffirmé son soutien à Nicolas Sarkozy pour la primaire à droite.
RÉGIONALES - Le maire de Marseille Jean-Claude Gaudin a rappelé que le Front national était toujours fort au 1er tour en Paca mais ne "concrétisait" pas au second.
L'ancien Premier ministre était l'invité d'Europe 1 mercredi matin.
L'ancien patron de l'UMP tente de reprendre langue avec les cadres de son parti.
L'ancien chef de l'Etat se rendra à Moscou à la fin du mois.
La numéro deux des Républicains estime qu'"il faut réformer le syndicalisme en France".
30 % des Français seraient prêt à voter pour une liste LR/UDI en décembre prochain.
Le candidat Les Républicains en Nord-Pas-de-Calais-Picardie a fustigé son adversaire aux régionales, samedi sur Europe 1.
Le député-maire de Levallois-Perret contre-attaque après sa mise en examen pour fraude fiscale.
L’affaire Bygmalion a "réveillé" l’ancien patron de l’UMP, qui n’a pas apprécié que Nicolas Sarkozy se défausse sur lui.
Le candidat à la primaire de la droite en 2016 a regretté que Nicolas Sarkozy ait envisagé de baisser le nombre de bureaux de vote et appelé au "respect des règles".
L'eurodéputée voit sa cote de popularité bondir dans l'électorat des Républicains et du Front national. A l'inverse de Nicolas Sarkozy, qui l'a évincée de la campagne des régionales.
Dans l’entourage du patron de Républicains, on balaye d'un revers de main les accusations de l'ex-directeur de cabinet de Jean-François Copé.
L'eurodéputé, très proche de Nicolas Sarkozy, était l'invité d'Europe 1, mardi.
La participation au scrutin pourrait dépasser celle de la primaire socialiste de 2011, selon un sondage Elabe publié par L'Opinion lundi.
Déménagement, recrutement, collecte de dons… L'équipe du maire de Bordeaux renforce ses positions avant le début de la campagne pour la primaire.
ASSOCIATION - Invité du Grand rendez-vous dimanche matin sur Europe 1, François Bayrou a plaidé pour que Alain Juppé et François Fillon "se rapprochent" en vue de la primaire.
"La seule alternative au Front national, c'est nous", a lancé le patron des Républicains, devant environ 1.200 personnes, réunies au siège du parti, à l'occasion des états généraux de sa fédération de Paris.
Le chef de l'Etat a justifié l'éviction de son ancienne ministre lors d'un meeting à Béziers.