Date de création : 17 novembre 2002 (UMP) changement de nom le 30 mai 2015
Fondateurs : Jacques Chirac et Alain Juppé
Président : Laurent Wauquiez
Positionnement : Droite
Nombre de députés : 103/577
Nombre de sénateurs : 146/348
Date de création : 17 novembre 2002 (UMP) changement de nom le 30 mai 2015
Fondateurs : Jacques Chirac et Alain Juppé
Président : Laurent Wauquiez
Positionnement : Droite
Nombre de députés : 103/577
Nombre de sénateurs : 146/348
Déménagement, recrutement, collecte de dons… L'équipe du maire de Bordeaux renforce ses positions avant le début de la campagne pour la primaire.
ASSOCIATION - Invité du Grand rendez-vous dimanche matin sur Europe 1, François Bayrou a plaidé pour que Alain Juppé et François Fillon "se rapprochent" en vue de la primaire.
"La seule alternative au Front national, c'est nous", a lancé le patron des Républicains, devant environ 1.200 personnes, réunies au siège du parti, à l'occasion des états généraux de sa fédération de Paris.
Le chef de l'Etat a justifié l'éviction de son ancienne ministre lors d'un meeting à Béziers.
Sarkozyste pur jus, l'adjointe au maire de Nancy est en froid avec l'eurodéputée évincée.
L'eurodéputée réagira à la décision de son parti de lui retirer son investiture pour les élections régionales.
L’eurodéputée a été dépossédée mercredi soir de son statut de tête de liste en Meurthe-et-Moselle pour les régionales de 2015. Pourtant, le président des Républicains a tout fait pour la convaincre.
L'eurodéputée ne s'est pas excusée pour ses propos sur la "race blanche". Elle perd ainsi son investiture Les Républicains aux régionales en Meurthe-et-Moselle au profit de l'ex-députée Valérie Debord.
Le chef de l'Etat a tout tenté pour sauver la tête de son ancienne protégée.
Le maire de Nice était l'invité d'Europe 1, mercredi matin. Il est aussi le président de la commission nationale d'investiture des Républicains, qui va se pencher sur le cas Morano.
L'affaire Morano a réveillé les tensions entre et Jean-François Copé et Nicolas Sarkozy, sur fond d'affaire Bygmalion.
Le président des Républicains, a demandé à Nadine Morano, mardi d'exprimer des "regrets" pour avoir dit que la France était "un pays de race blanche", auquel cas elle pourrait conserver son investiture régionale en Meurthe-et-Moselle.
Le sénateur de la Vienne et ancien Premier ministre était l'invité d'Europe 1.
Le cas de l'eurodéputée sera évoqué mercredi par la commission d'investitures. Mais son lobbying, lui, a déjà commencé.
Le candidat à la primaire Les Républicains pour 2017 souhaite alléger la fiscalité des PME, repasser aux 39 heures et supprimer l'ISF.
Une majorité de sondés pensent que les responsables des Républicains ont "des positions proches" de celles du FN. Et la cote de l’eurodéputée touche le fond.
La primaire de la droite coûtera cher dans un premier temps. Mais à terme, elle devrait rapporter un joli pactole à ses organisateurs.
Le parti a récolté 3,7 millions d'euros sur les six premiers mois de l'année.
La présidente du Front national s'est démarquée des propos de l'eurodéputée Les Républicains.
Malgré le désaveu de Nicolas Sarkozy, certains soutiennent toujours l'eurodéputée, en plaidant la maladresse.
Le patron des Républicains espérait que la polémique s'éteindrait d'elle-même. Mais la sortie de Morano sur Europe 1 l'a convaincu qu'il fallait trancher dans le vif.
L'eurodéputée LR est critiquée au sein même de sa famille politique pour ses propos sur "la France de race blanche". Elle s'est expliquée mercredi sur Europe 1.
PLUS DE CHOIX - La fin du menu de substitution au porc dans les cantines scolaires de Chalon-sur-Saône a été définitivement entérinée mardi soir par le conseil municipal.
L'eurodéputée est lâchée par une grande partie de son camp mais ne devrait pas être sanctionnée.
L'eurodéputée est lâchée par ses camarades des Républicains, qui condamnent tous ses propos sur "la race blanche".
La numéro 2 des Républicains était l'invitée d'Europe 1, mardi matin. Elle a réagi à la rumeur qui la voit quitter l'organigramme des Républicains.
Le patron des Républicains est agacé par son rival à la primaire, qu'il accuse de manquer de fidélité.
Le député Les Républicains a marqué lundi son désaccord avec Nadine Morano, qui avait déclenché une polémique en affirmant que la France était un "pays de race blanche" sur le plateau de l'émission On n'est pas couché.
"Je n'ai pas envie que la France devienne musulmane", a déclaré l'eurodéputée Les Républicains dans On n'est pas couché samedi.
Les Républicains et leurs alliés centristes obtiendraient 35% des voix.