
barrage de sivens - Toute l'actualité sur le barrage de sivens
barrage de sivens - Toute l'actualité sur le barrage de sivens
Le 21 octobre 2014, le jeune homme de 21 ans avait succombé à l'explosion d'une grenade offensive tirée par un gendarme, lors de violents affrontements.
Rémi Fraisse est mort il y a trois ans après un tir de grenade effectué par un gendarme. Une centaine de personnes se sont rassemblées pour demander "justice" jeudi soir.
Le texte prévoit notamment la création d'un "droit d'initiative" citoyenne, destiné à éviter la répétition de drames comme celui du barrage contesté de Sivens.
Le parquet a requis un non-lieu dans l'affaire qui entoure la mort de Rémi Fraisse, tué en 2014 par une grenade offensive d’un gendarme mobile, à Sivens.
L'usage de ces grenades avait été suspendu deux jours après la mort de Rémi Fraisse lors d'un affrontement avec les forces de l'ordre en 2014.
Le gendarme mis en examen avait tiré une grenade de désencerclement dans la caravane de la victime. La jeune femme avait été grièvement blessée.
Jacques Toubon a dédouané jeudi le gendarme auteur du tir de grenade qui a coûté la vie à Rémi Fraisse, il y a deux ans, tout en critiquant le manque de clarté des instructions données aux militaires.
Le militant Rémi Fraisse tué en octobre 2014 sur le site du barrage de Sivens levait les mains au moment où il a reçu une grenade qui l'a tué.
Il sera entendu, devant les juges d'instruction, pour "violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner".
Attendue depuis le mois de mars, la suppression du projet initial du barrage de Sivens a été actée par un arrêté préfectoral en toute discrétion.
Installée "clandestinement" à Sivens, par le collectif La Pelle Masquée, la sculpture à la mémoire de Rémi Fraisse, a été enlevée durant la nuit de mardi à mercredi.
Une minute de silence a été demandée par Jean-Luc Bennahmias en l'honneur du zadiste Rémi Fraisse lors du congrès fondateur de l'UDE.
INTERVIEW E1 - La ministre de l'Ecologie a commenté sur Europe 1 la décision du conseil général du Tarn.
EXTRAIT - Le Conseil général du Tarn s'est prononcé pour un projet de barrage réduit sur le site de Sivens.Retrouvez Europe Midi et Wendy Bouchard de 12h à 14h.
Les gendarmes mobiles ont mis fin à l'occupation du site de Sivens, dans le Tarn, par des zadistes. Vingt-et-une personnes ont été interpellées et une partie placées en garde à vue.
C'EST TRANCHÉ - Ce projet remplace la version initiale du barrage de Sivens, écartée après la mort du manifestant Rémi Fraisse.
Pour le député écologiste de Loire-Atlantique, il est urgent de prendre son temps concernant le barrage de Sivens.
Les élus du conseil général du Tarn vont se prononcer sur des solutions de remplacement au barrage controversé.
Le ministre de l'Intérieur estime que "la situation d'extrême tension" justifie cette demande d'interdiction.
LES SECRETS POLITIQUES - Le ministère de l'Intérieur se tient prêt à évacuer la zone après le vote du nouveau projet.
A cinq jours de la décision du conseil général sur un projet de remplacement, le climat autour du barrage de Sivens demeure tendu entre agriculteurs et "zadistes".
TARN - La tension est encore montée d'un cran depuis vendredi autour du barrage de Sivens, entre "zadistes" et agriculteurs.
Le projet initial de barrage n'est "plus d'actualité" a fait savoir vendredi la ministre de l'Ecologie.
A Notre-Dame-des-Landes, Sivens, Roybon,… des militants occupent la zone et se structurent.
Ouvrant la conférence environnementale, le chef de l'Etat a notamment prôné une meilleure association des citoyens aux décisions sur les grands projets.
L’Europe a ouvert une procédure judiciaire contre de la France pour non respect des directives européennes dans le dossier du barrage de Sivens. Arnaud Gossement, avocat spécialiste du droit de l'environnement, nous en dit davantage.
Dans une interview au Parisien, l’avocat du gendarme, auteur du tir mortel sur Rémi Fraisse à Sivens, livre sa version du drame.
Cette procédure d'infraction porte sur le respect des directives européennes sur l’eau.
Notre-Dame-des-Landes, Sivens, Bure,… La mobilisation s’organise partout en France pour faire barrage à des projets industriels.
La Commission européenne a lancé une enquête sur le projet controversé. Les militants seraient à l'origine de la saisine.