nicola sirkis oli de sat indochine 2:08
  • Copié
Alexis Patri , modifié à
Invité d'une édition spéciale de l'émission d'Emilie Mazoyer "Musique!", le groupe, qui se prépare à fêter ses 40 ans de carrière au Stade de France, a évoqué les drôles de projets de produits dérivés qui lui ont été soumis... et qu'ils n'ont pas toujours accepté.
INTERVIEW

En presque 40 ans de carrière, Indochine a fait des nombreuses tournées avec, pour chacune, des tee-shirts collectors. Mais aussi d'autres produits dérivés inattendus : caleçons, nounours, ventilateurs... Le groupe a également lancé une boutique éphémère, en prévision de leur show exceptionnel au Stade de France, le 19 juin 2021. Invité d'une édition spéciale de l'émission Musique!, le groupe a passé en revue les produits dérivés qu'il a refusés, envisagés, ou dont il pourrait piquer l'idée à d'autres artistes.

"Le sextoy, ça peut être drôle"

S'inspirant du livre Branding Rock Star, Emilie Mazoyer a ainsi listé plusieurs idées, qui ont permis d'en apprendre encore un peu plus sur le groupe. Le maillot de cycliste façon Pixies ? "Ah oui, oui, j'aime bien l'idée", acquiesce Nicola Sirkis. La carte bancaire des Sex Pistols ? "Une banque nous l'avait proposé, mais on a refusé", révèle le chanteur.

Viennent ensuite les idées de produits dérivés réservés aux adultes. Et notamment un grand classique des groupe de rock, que l'on retrouve chez Rammstein, Motörhead et Marilyn Manson (et même chez Mylène Farmer) : le sextoy. "Alors non, on ne l'a pas fait. Mais ça peut être drôle", envisage Nicola Sirkis. "On avait pensé aux capotes, mais il faut qu'elles soient aux normes françaises, c'est compliqué. Et, à l'époque du sida, il ne faut pas trop rigoler avec ça non plus." Pas de préservatifs au programme donc, mais des produits dérivés à retrouver en 2021, pour fêter les 40 ans de carrière du groupe.