«J’ai fait un speedating» : Elsa Zylberstein raconte comment elle a préparé son rôle dans le film «La Fabrique des Sentiments»
Pour préparer son rôle dans "La Fabrique des Sentiments", Elsa Zylberstein a confié au micro d’Europe 1 avoir participé à un speed dating. Invitée dans Culture Médias sur Europe 1, l’actrice raconte cette immersion aussi cocasse que révélatrice, entre fausse identité, perruque rouge et confidence.
Une anecdote croustillante. Invitée au micro d’Europe 1 dans l’émission Culture Médias, Elsa Zylberstein s'est confiée sur comment elle a préparé son rôle pour le film La Fabrique des Sentiments, réalisé par Jean-Marc Moutout. L’actrice s'est frottée à l’expérience réelle du speed dating avec perruque rouge et lunettes à l’appui. "Je me suis dit, bon, je vais quand même aller à un speed dating pour voir ce que ça fait", a-t-elle exprimé.
Une tentative de passer incognito
Pour se glisser au plus près de son personnage, une femme en quête d’amour dans un monde codifié de rencontres rapides, Elsa Zylberstein a décidé de vivre l’expérience de l’intérieur malgré les avertissements de la productrice Margaret Menegoz. La veille de l’événement, une pointe de doute l’amène à déguiser son identité avec une perruque courte et rouge, lunettes, et un faux métier inventé pour l’occasion. "Je dis que j’aime le poulet, le tennis... J’invente tout", a-t-elle raconté en riant.
Dès le premier échange, un participant la démasque. "Vous ressemblez à une actrice… Elsa Zylberstein. La différence, c’est qu’elle, elle ne serait pas là", avait lâché le prétendant. Dans le film de Jean-Marc Moutout, l’actrice y incarne Éloïse, une cadre brillante mais en quête de sens, qui explore différents modes de rencontres amoureuses.
Elsa Zylberstein était également présente dans l’émission aux côtés de Didier Bourdon pour présenter leur nouveau film C’était mieux demain qui sort mercredi prochain, une comédie dramatique qui questionne notre rapport au passé et à l’avenir. Entre humour et émotion, le duo qui joue un couple traditionnel des années 1950 promet une belle alchimie à l’écran.