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Anthony Delon se rappelle son enfance sur les plateaux de tournage de son père

Alexis Rey-Millet . 1 min

Fils d'une icône du cinéma français, Anthony Delon a souvent accompagné son père, Alain Delon, sur différents tournages de films. Au micro d'Isabelle Morizet dans "Il n'y a qu'une vie dans la vie", l'acteur nous emporte avec lui dans les souvenirs de ses balades, dès l'âge de 5 ans, dans ce qu'il décrit comme un "monde enchanté".

Anthony Delon, acteur, écrivain et fils de la légende du cinéma français Alain Delon, revient sur un moment de sa vie qui l'a "énormément marqué" : ses excursions dans les studios de Boulogne-Billancourt lorsqu'il accompagnait, enfant, son père durant ses tournages. L'acteur raconte samedi, au micro d'Isabelle Morizet dans Il n'y a pas qu'une vie dans la vie, l'univers presque magique dans lequel il errait librement enfant.

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"J'étais entre la réalité et le rêve"

Plongeant dans l'envers du décor, Anthony Delon évoque sa fascination du monde imaginaire qui entourait son père. "Pour moi, c'était le monde enchanté. C'étaient les tournages, les figurants, les différentes époques, les odeurs, la sonnerie qui annonçait le début de la reprise de la séquence. Cette lumière rouge qui s'allume, ce silence, ces portes immenses, ces hauteurs de plafond qui nous semblent immenses quand on a 5, 8 ou 10 ans."

Anthony Delon dépeint un monde fantastique à ses yeux d'enfants : "J'étais entre la réalité et le rêve" raconte-t-il.

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"Je faisais partie du décor"

La loge de son père au milieu de toutes, le jeune Anthony pouvait se balader librement "partout". Des loges aux studios, il décrit les différents recoins de cet univers dans lequel il s'aventurait enfant : "Il y avait pleins de petits escaliers qui montaient. Des petites loges partout avec des figurants qui fumaient leurs clopes entre chaque prise."

L'acteur évoque un environnement qui lui était familier, se rappelant notamment Suzie la costumière ou Vadée le coiffeur. "Dans ce bar où ils allaient se nourrir, boire des coups, prendre des bières, tout à coup le gérant m'appelait. Quelque part, je faisais partie du décor, ça me faisait plaisir", explique-t-il.

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Une expérience qui fit "aimer le cinéma" à Anthony Delon, à défaut de lui donner envie de travailler dans le milieu.