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Novak Djokovic confie avoir «plus de doutes» sur le fait qu'il puisse à nouveau gagner des Grands Chelems

Grégoire Allain - Mis à jour le . 1 min
Novak Djokovic confie avoir «plus de doutes» sur le fait qu'il puisse à nouveau gagner des Grands Chelems
Novak Djokovic confie avoir «plus de doutes» sur le fait qu'il puisse à nouveau gagner des Grands Chelems © MILOS BICANSKI / GETTY IMAGES EUROPE / Getty Images via AFP

Toujours à la recherche d'un 25e titre en Grand Chelem, Novak Djokovic s'est livré au micro du sulfureux journaliste britannique Piers Morgan. Le Serbe a notamment confié avoir plus de doutes sur sa capacité à réaliser une telle performance, fragilisé par un physique vieillissant mais aussi l'émergence de Carlos Alcaraz et Jannik Sinner.

En plein Masters de fin de saison, pour lequel il a déclaré forfait après son titre à Athènes la semaine dernière, Novak Djokovic s'est confié au journaliste britannique Piers Morgan. Face à celui qui l'avait traité de "tricheur" ou d'"anti-vax" par le passé, le Serbe est notamment revenu sur la rivalité qui l'oppose à Carlos Alcaraz et Jannik Sinner.

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En quête d'un 25e titre du Grand Chelem à bientôt 39 ans, le Djoker a confié ressentir une "usure" liée à son âge, après avoir pensé (et donné l'impression) qu'il était "un surhomme qui ne pouvait jamais se blesser, jamais avoir de faiblesses".

Plusieurs blessures ces derniers mois

Bien qu'il n'apparaisse presque plus que lors des tournois majeurs, Novak Djokovic a du faire face à plusieurs pépins physiques en 2025, de son abandon en demi-finale de l'Open d'Australie pour une douleur à l'adducteur, à sa récente blessure à l'épaule, raison officielle de son forfait à Turin cette semaine. Une contrainte qui vient s'ajouter à un rapport de force désormais très à son désavantage, avec les deux joyaux du tennis mondial.

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"J'ai plus de doutes sur le fait que je puisse gagner des Grands Chelems, surtout contre ces deux-là (Alcaraz et Sinner, NDLR). Mais tant que je suis encore en activité, quand j'entre sur le court, je me fiche de savoir qui est en face. Je crois toujours que je suis meilleur, que je mérite de gagner et que je vais tout faire pour", a-t-il nuancé.

Mais même barré par l'Italien ou l'Espagnol en demi-finales des trois derniers Majeurs, le Belgradois n'en oublie parfois pas de délaisser son costume de troisième homme pour profiter du spectacle offert par ces derniers, assurant par exemple être entré dans "une phase d'admiration" lors de la finale entre les deux joueurs Porte d'Auteuil, remportée par Alcaraz en 5h29. "Je n'ai pas ressenti (cela, NDLR) beaucoup de fois dans ma vie lorsque je regardais quelqu'un d'autre jouer. Parfois quand je regardais Federer et Nadal s'affronter, donc c'est arrivé pour quatre, cinq fois", a-t-il ajouté.