Paris en quête de constance

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Rédaction Europe1.fr , modifié à
TOP 14 - Irrégulier depuis le début de la saison, le Stade français veut terminer l'année sur un succès à Montpellier lors de la 16e journée.

Irrégulier depuis le début de la saison, le Stade français veut terminer l'année sur un succès à Montpellier lors de la 16e journée de Top 14 mercredi.Inconstance semble le maître-mot pour résumer le début de saison du Stade français. Tantôt capable du meilleur comme sa récente victoire en Coupe d'Europe face à l'Ulster (29-16) - après une défaite à l'aller, ou celle face à Bayonne, dernièrement en championnat (34-10), tantôt du pire comme cette terne statistique de zéro succès à l'extérieur, le club parisien cherche encore son rythme alors qu'il pointe seulement à la septième place du Top 14 après 15 journées. Son déplacement à Montpellier, mercredi, à l'occasion de la 16e journée de championnat, lui permettra peut-être de rectifier le tir."Nos prochaines rencontres sont très importantes pour la suite de la saison", prévient Jacques Delmas. "Pour cela, il va falloir se fixer des objectifs élevés et tout de suite se remettre dans le bain", estime l'entraîneur du Stade français. Un état d'esprit dont ses troupes devront s'armer alors que le club stadiste évolue bien loin de ses objectifs de début de saison. Pour accrocher l'une des places qualificatives pour la phase finale, les Parisiens devront tabler sur une régularité qui leur fait cruellement défaut et surtout se montrer intraitables face à des concurrents directs. Contre le Racing-Métro 92 (18-20, 13e j.) et Toulon (18-22, 14e j.), les hommes de Max Guazzini ont récemment échoué.Avant de se déplacer à Montauban, dimanche prochain, c'est la pelouse d'un Montpellier en quête de points et revigoré par le retour de blessure du capitaine héraultais, Fulgence Ouedraogo, qui attend le Stade français. Privé notamment de Julien Dupuy, suspendu pour le reste de la saison après sa une "fourchette" sur un joueur de l'Ulster, le collectif parisien passera un test capital. L'heure est donc à la "mobilisation générale", de l'aveu même de Jacques Delmas.