Léa Salamé est sur tous les fronts. A 43 ans, la journaliste se donne à fond dans son travail, entre la présentation de la matinale de France Inter et l'animation de Quelle époque !, son talk-show du samedi soir, diffusé sur France 2. Un planning très chargé qui lui laisse très peu de temps pour elle-même et ses proches. Devenue maman il y a six ans d'un petit Gabriel, fruit de ses amours avec Raphaël Glucksmann, Léa Salamé a néanmoins réussi à trouver un équilibre. Se sent-elle pour autant toujours aussi coupable de travailler autant ? "Oui et non", répond-elle à nos confrères de Gala ce jeudi 18 mai 2023.
"Je m'astreins à consacrer deux ou trois heures par jour à mon fils"
"Oui, comme toutes les femmes qui culpabilisent de ne pas faire assez bien", précise-t-elle dans les colonnes du magazine. "Et non, car je m’astreins vraiment à consacrer deux ou trois heures par jour, et tous les week-ends, à mon fils et à mon beau-fils", explique la journaliste, qui est devenue la belle-mère d'Alexandre (11 ans), le fils de son compagnon Raphaël Glucksmann.
Léa Salamé ne prend jamais le petit-déjeuner en famille
Dans son interview pour Gala, Léa Salamé reconnaît ne pas être une "maman comme les autres" à cause de ses horaires de travail. La journaliste se lève tous les matins aux aurores pour animer la matinale de France Inter. Elle ne prend donc jamais son petit-déjeuner en famille. "Pas une fois je n'ai pu le faire depuis que Gabriel est né, car je suis à France Inter", déplore-t-elle. La journaliste partage en revanche d'autres moments de qualité avec son petit garçon. "Deux à trois fois par semaine, c’est moi qui vais le chercher à l’école. Et je m’occupe du dîner, je fais les douches, je lis les histoires avant de s’endormir", précise-t-elle dans Gala.
Si Léa Salamé aimerait passer plus de temps avec son enfant, la journaliste a été très rassurée par ce que lui a dit un professionnel de santé. "Comme me le disait le pédiatre de Gabriel, l’important n’est pas le temps que l’on passe avec ses enfants, mais la qualité du moment passé", confie-t-elle. "Une heure où l’on pose le portable, où l’on partage vraiment leurs activités, c’est précieux". La journaliste n'a donc vraiment aucune raison de culpabiliser !