Yann Barthès, Camille Combal, Arthur... Cyril Hanouna donne son avis sur les personnalités du PAF
Cyril Hanouna était l'invité de "Culture Médias" ce lundi matin sur Europe 1. Au micro de Jean-Pierre Foucault, l'animateur de "TPMP" a donné son avis sur différentes personnalités du PAF, dont Anne-Elisabeth Lemoine, Camille Combal, Karine Lemarchand mais aussi Yann Barthès.
Que pense Cyril Hanouna des différentes personnalités du PAF ? Invité de Culture Médias ce lundi matin sur Europe 1, l'animateur de TPMP a été interrogé par Jean-Pierre Foucault sur ses consœurs et confrères du petit écran.
"Arthur a une très belle carrière"
"Je vous donne un nom d'animateur ou de journaliste et vous me donnez une qualité qui caractérise cette personne", lui a dans un premier temps lancé Jean-Pierre Foucault. Réponse de Cyril Hanouna ? "Je vais essayer d'être gentil". La star du PAF l'a été dans un premier temps. "Arthur, c'est une belle carrière", a-t-il assuré avant de parler de Michel Cymes : "Comme lui je ne comprends pas pourquoi Le Magazine de la santé s'arrête".
Cyril Hanouna a ensuite été élogieux envers Camille Combal, qui a démarré sa carrière dans TPMP avant de devenir une personnalité phare de TF1 : "Camille, c'est un énorme talent. Je suis heureux d'avoir contribué à ce qu'il soit plus connu qu'avant". Interrogé sur Bertrand Chameroy, Cyril Hanouna n'a pas réussi à lui trouver une qualité : "Traître", a-t-il seulement assuré, reprochant à l'humoriste, qui a fait ses débuts dans TPMP, d'avoir "craché dans la soupe". "Je n'aime pas les gens qui ne sont pas reconnaissants", a-t-il asséné sur Europe 1.
"Yann Barthès, c'est Jeff Panacloc"
Cyril Hanouna a ensuite dû s'exprimer sur son rival Yann Barthès, aux commandes du talk-show Quotidien. "Yann Barthès pour moi c'est rien. Je l'ai vu à la commission, c'est rien. C'est Jeff Panacloc", a-t-il taclé avant de donner son avis sur Jean-Michel Apathie : "Il représente quelque chose contrairement à Yann Barthès mais je dirais monomaniaque". "Quelques uns ont été habillés pour le printemps...", a conclu Jean-Pierre Foucault en rigolant.