Pékin Express : la nouvelle saison s'annonce "infernale et frénétique", assure Stéphane Rottenberg

Stéphane Rottenberg crédit : Europe 1 - 1280
La moiteur de l'île de Bornéo, Stéphane Rottenberg s'y fait assez bien mais il reconnaît que cela "peut rendre fou". © Europe 1
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Marthe Ronteix , modifié à
Après quatre ans d'absence, le programme "Pékin Express" de M6 revient jeudi soir pour une onzième saison. Entre galères de pirogues, moiteur et candidatures innombrables, son animateur présente cette nouvelle édition dans Le Club de l'été d'Europe 1.
INTERVIEW

"Infernale !" Voilà comment Stéphane Rottenberg qualifie la onzième saison de l'émission Pékin Express, de Bornéo à Tokyo, de retour sur M6 jeudi soir. L'animateur vedette de la chaîne revient pour Le Club de l'été sur les galères le retour de ce programme très attendu par les fans après quatre ans d'absence.

Des pirogues pas tout à fait au point. Huit duos de candidats, 10.000 kilomètres à parcourir dans trois pays avec un euro par jour et par personne, le principe n'a pas changé. En revanche, il existe de nouvelles règles dont la première a été découverte par les candidats dès la première émission : le déplacement en pirogue. Un mode de transport qui a occasionné quelques problèmes. "Pour la première épreuve, on n'avait pas pu bien préparer l'étape des pirogues et les candidats se sont mis à naufrager", raconte l'animateur. "On les a retrouvés, ce n'était pas très profond. Mais ils ont noyé les micros, les caméras, ce qui a provoqué de gros problèmes derrière."

Une moiteur inhabituelle. Une nouvelle difficulté volontaire pour surprendre candidats et téléspectateurs. "Les candidats sont à fond. Le programme, ils le connaissent donc surprendre est la garantie d'avoir un contenu artistique encore plus fort", explique Stéphane Rottenberg. "Donc c'est vrai qu'on cherche toujours à les déstabiliser." Outre les pirogues, les duos de voyageurs ont également été surpris par la moiteur de l'île de Bornéo. "Nous les occidentaux, on n'imagine pas ce que c'est un climat réellement humide, on ne sèche pas. Moi je m'y fais assez bien mais ça peut rendre fou."

1.000 candidatures par quart d'heure. Malgré ces conditions parfois difficiles, de (très) nombreux Français et Belges ont tenté leur chance pour participer à l'aventure. "On recevait 1.000 candidatures par quatre d'heure donc on a dû s'arrêter à 20.000. C'est un engouement incroyable", assure l'animateur.

Et comment choisit-on les candidats ? Il faut "essayer de trouver les liens différents à chaque fois. On essaye aussi de mailler le territoire, pour que toutes les régions se sentent concernées. On a l'embarras du choix mais ce n'est pas évident." Cette année, le doyen de l'aventure est un homme de 80 ans en duo avec son fils, qui promet de grands moments d'hilarité, assurent Eva Roque et Lise Pressac, qui ont pu regarder le premier épisode en avant-première.