«La liberté d'expression n'est pas un droit qui vient de l'État, mais de Dieu», affirme le conseiller digital de Donald Trump

Il a soutenu Donald Trump dès sa première campagne présidentielle en 2016 avant de devenir son conseiller en communication digitale au début de son deuxième mandat. Alex Bruesewitz est en visite en France et il a accordé à Europe 1, dans Christine Kelly et vous, une interview exclusive dans laquelle il juge que l'état de la liberté d'expression en Europe est inquiétant. 

"J'ai confiance dans les patriotes des pays européens"

"Je pense que la censure en Europe est folle. Nous avions la même chose aux États-Unis avec Joe Biden, un des pires présidents de l'histoire du pays. On avait un niveau de censure inégalé", a-t-il affirmé au micro de Christine Kelly. Il revient également sur la censure qu'a connue le président Trump dans son propre pays. 

"Si on posait des questions sur des sujets comme le covid ou l'élection présidentielle de 2020, on perdait son compte. Le président Trump a été retiré de Facebook, Instagram, Twitter, YouTube et Spotify alors qu'il était encore en fonction. Mais on a surmonté ces épreuves. Mon message pour les Européens est celui-là : on n'a pas abandonné et on espère que vous n'allez pas abandonner. La liberté d'expression n'est pas un droit qui vient de l'État, mais de Dieu". 

Alex Bruesewitz ajoute également qu'il "n'y a rien de fasciste dans la liberté d'expression. Le fascisme c'est tenter d'empêcher la liberté d'expression". Il déclare être "perturbé" par ce qu'il voit en Europe : "Les bureaucrates européens veulent tout contrôler sur les réseaux sociaux. Mais j'ai confiance dans les patriotes des pays européens qui vont se lever et qui vont rejeter la censure, la bureaucratie et que l'on va revenir à la liberté d'expression".