Un laboratoire dans le viseur de l'ANSM

  • Copié

Le laboratoire Alkopharm avait déjà été suspendu temporairement l'année dernière pour avoir commercialisé un anti-cancéreux périmé. L'entreprise serait à nouveau dans le viseur de l'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM), qui avait interdit certains de ses médicaments, rapporte Le Parisien.

En cause, cette fois, deux médicaments. D'après l'ANSM, un médicament utilisé comme complément de calcium chez les personnes âgées, l'Osteocal D3, se trouve encore en stock dans un hôpital du Doubs, alors qu'il fait l'objet d'une demande de retrait. Le Nopron, un sirop pour les enfants, est également interdit. Mais des policiers italiens ont indiqué aux autorités françaises qu'une entreprise avait tenté d'en vendre dans le pays. Cette société, Primius, basée en Grande-Bretagne, aurait des liens étroits avec Arkopharm.