L’homme qui a tué d’un coup de sabre japonais une policière de 30 ans le 14 octobre dernier à Bourges souffre de troubles psychiques majeurs ayant aboli son discernement au moment du passage à l’acte, selon la conclusion du rapport d’expertise psychiatrique, rapporte Le Parisien.
Pour les deux premiers psychiatres qui l’ont examiné, Olivier Roson, professeur de 33 ans qui enseigne les sciences de la vie et de la terre, présente une psychose schizophrénique paranoïde.
Mes Gilbert Collard et Louis Aliot, avocats du père d'Anne Pavageau, la policière tuée, ont immédiatement demandé une contre-expertise. Si Olivier Roson était définitivement déclaré irresponsable par les psychiatres, il ne sera pas jugé.