Le HHC, un dérivé du cannabis, vendu légalement en France

Tous les jours de la semaine, Europe 1 décrypte trois articles de la presse du jour.

Vous connaissez le THC et le CBD, ces deux molécules issus du cannabis.

Une, a des effets psychotropes, et est donc illégale, on parle du THC.

L'autre, le CBD, présente des vertus thérapeutiques et est donc vendu légalement partout en France.

Laissez-moi vous présenter une troisième molécule dérivée du cannabis : Le HHC.

Trois lettres correspondant à l'hexa-hydro-cannabinol provocant comme le THC des effets psychotropes, mais pourtant vous pouvez l'acheter légalement en France comme le CBD. C'est ce que nous relate le Midi Libre ce matin.

Il y’a un trou dans la raquette, un vrai vide juridique autour de cette substance.

Le HHC ne figure pas sur la liste des stupéfiants en France et est donc automatiquement autorisé à la vente ( en tout cas elle n'est pas encore interdite).

C'est pour cela que depuis un an, environ, dans l'Hexagone, il est très facile de s'en procurer dans des boutiques spécialisés.

Pourtant, ce HHC provoque des effets psychotropes comme le THC (modification de l'humeur de la perception, crise d’angoisse etc…)

Problème, a contrario du THC cette fois, le HHC n'est pas détectable lors d'un dépistage de drogue.

Ce qui est un énorme problème dont a bien conscience la mission interministérielle de lutte contre les drogues qui affirme travailler sur le dossier depuis plusieurs semaines.

Mais pour le moment ça n'avance pas vraiment….

Comme l’explique la direction générale de la santé, aucune étude d'ampleur n'a été menée sur cette molécule et les connaissances sur le HHC sont très limitées.

Et principe de précaution oblige, quand on ne sait pas, on ne sait pas. Pas d’interdiction, vous pouvez donc, à l’heure actuelle, vous procurez ce HHC légalement.

« Qu'est-ce que le HHC, ce cannabis de synthèse en vente libre en France comme le CBD ? »

C'est un article à retrouver dans le Midi Libre ce matin.

La question va peut-être vous paraître étrange…est-ce que vous avez une imprimante à la maison?

C’est la question que se pose ce matin le Parisien… Pourquoi les Français continuent d’acheter des imprimantes… il s’en vend encore 2 millions chaque année… malgré le prix des cartouches d’encre… on est nombreux à avoir été refroidis à l’heure de les remplacer… et pourtant les ventes résistent… c’est d’autant plus étonnant qu’aujourd’hui on a tout dans la paume de la main, sur l’écran de notre smartphone…

Vous achetez un billet de train, une place de concert… le QR code s’affiche sur le téléphone, plus besoin d’imprimer… même chose pour la plupart de vos démarches administratives…

Alors pourquoi les imprimantes ont-elles toujours la cote?

Ça a commencé avec la crise du Covid… les ventes de cartouches d’encre ont redécollé… on était à la maison, on s’ennuyait, on dépensait peu, et puis il y avait cette fichue attestation de sortie, qu’il était quand même plus pratique d’imprimer…

Et maintenant, pendant que les ventes d’ordinateur décrochent, les ventes d’imprimantes tiennent bon… Ce n’est pas le même tarif, et c’est même tentant quand vous voyez que le prix moyen d’une imprimante tourne autour de 75 euros…

Celles qui ont un scanner intégré rendent bien service quand il y a un document à signer puis à envoyer en PDF…

Et puis il y a encore une frange de la population qui imprime par sécurité… la peur de la panne du smartphone… ou alors des personnes plus âgées toujours attachées au papier…

Et puis il y a aussi l’effet télétravail… c’est autant de jours, autant de cas où on n’a plus accès à l’imprimante du bureau…

Comme le télétravail entre dans les moeurs… il fait maintenant l’objet de négociations avec l’employeur… et avec le PC, l’imprimante fait maintenant partie du paquetage demandé à l’entreprise pour travailler à la maison…

Il reste le prix des cartouches… c’est toujours là que les fabricants se font leurs marges… et en général, on le découvre assez tôt pour se dire… à imprimer avec modération…

“Pourquoi les Français continuent d’acheter des imprimantes”... c’est dans le Parisien Aujourd’hui en France…

Renversez votre tirelire, cassez votre PEL, rassemblez vos petites économies planquées sous le matelas ! Vous allez pouvoir, je vous le souhaite vous offrir un objet ayant appartenu à Freddie Mercury.

Le Figaro nous apprend qu’une grande vente aux enchères aura lieu à la rentrée prochaine à Londres. Il s’agit du contenu de la maison londonienne à Kensington du leader de Queen. 1 500 objets et une estimation de 6 millions de livres, un peu plus de 6 millions et demi d’euros. En fait pour être précise, la maison de vente Sotheby’s organise plusieurs ventes. Elles auront lieu après une exposition qui se tiendra de 4 aout au 5 septembre, la date de 77ème anniversaire de leader de Freddie Mercury. Tous ses objets appartiennent aujourd’hui à Mary Austin, la compagne du chanteur, l’amour de sa vie, qui occupe toujours la maison de Kensington, légué par Freddie Mercury. Agée de 72 ans, elle explique « le moment est venu de prendre la difficile décision de clore ce chapitre très particulier de ma vie ».

Alors qu’est-ce qu’on va bien pouvoir trouver !

La couronne et la cape que Freddie Mercury portait lorsqu’il a interprété God Save the Queen lors de sa dernière tournée avec son groupe Queen en 1986. On trouvera d’autres costumes de scène comme la veste militaire de cérémonie façon Sergent Pepper, veste noire en soie et velours avec de grandes épaulettes… également les paroles manuscrites de We are the champion, des peintures gravures dessins, un Picasso, un Matisse. Mais aussi des objets plus insolites comme un peigne à moustache (estimé entre 5000 et 7000 livres) ou un ancien téléphone à cadran des années 80. Il était posé à côté de son lit.

Une partie des bénéfices des ventes sera reversée à la fondation Mercury Phoenix qui soutient des initiatives pour la lutte contre le Sida ainsi qu’à la Elton John Aids Fondation, qui lutte également contre le VIH.

Freddie Mercury la légende de Queen aux enchères ! à la rentrée. Avis aux fans ! et ne manquez pas l’expo juste avant.