Elle ne ressent pas la douleur et pourrait aider à soulager des milliers de personnes, les divas d'aujourd'hui et débusquer les fausses promotions

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Tous les jours de la semaine, Ombline Roche, Dimitri Vernet et Alexandre Le Mer décryptent trois articles de la presse du jour.

 

Pressing Alexandre Le Mer

Quelques petites mesures de protection de votre porte-monnaie, des mesures anti-arnaques pour être clair.

L’UFC Que Choisir porte plainte contre huit sites de commerce en ligne pour pratiques trompeuses, c’est la fausse promo…

Quelques conseils ce matin pour les débusquer, c’est à lire dans le Huffington Post.

Le plus important, c’est de bien faire attention à la petite mention qui apparaît en principe, à côté du prix barré. Elle est souvent écrite en tout petit après un astérisque.

Si cette mention vous dit “prix le plus bas”, c’est bon, c’est une vraie promotion qui respecte les directives européennes.

Au contraire, si vous voyez les mentions “prix moyen”, “prix constaté”, prix conseillé”, méfiance. Il y a de grandes chances pour que vous soyez devant une fausse promo. Le prix d’origine a été gonflé artificiellement, avant la soi-disant promotion.

Le coup classique de la fausse promo, c’est la comparaison avec la concurrence. Il faut donc se méfier aussi si vous lisez “prix constaté sur les sites concurrents”. Oui, mais quels sites? On ne sait pas.

Attention aussi au supermarché. Dans les promos des têtes de gondole, il n’y a souvent qu’un seul produit de la sélection qui est concerné par la remise. Attention également aux lots de deux ou trois paquets, ils sont parfois juste là pour vous faire acheter plus. Il n’est pas rare que ça revienne moins cher à l’unité.

Bon et puis, vous pouvez tout simplement vous en remettre à votre nez. En général, quand une offre est trop belle pour être vraie, il y a de grandes chances que ce soit une fausse promo. Dans le marketing, on appelle ça “la mise en tension”. Toujours appâter le consommateur, vous, en vous mettant sous tension, c’est-à-dire en exerçant une pression à l’achat… vite vite vite, sinon il sera trop tard.

Souvent dans ces cas-là, il est urgent d’attendre. On fait ses propres comparatifs. Il existe sur internet des comparateurs, des traqueurs de prix qui eux n’ont rien à vous vendre, sinon de la pub.

 

Pressing Ombline Roche

À l’occasion d’une exposition qui se tiendra à Londres dès la fin du mois, au Victoria & Albert Museum, le magazine ELLE revient cette semaine sur le concept de Diva. Ces performeuses emblématiques du 19ème siècle à nos jours, c’est ainsi qu’elles sont présentées par l’expo britannique.

La Diva est-elle forcément une megastar capricieuse… Ça dépend de l’époque finalement !

Au 19ème siècle la diva désigne surtout la chanteuse d’opéra. Un statut qu’elle va garder pendant plusieurs décennies. Et d’ailleurs on apprend que  Maria Callas apparaît comme celle qui correspond justement à la définition de la diva autoritaire avec caprices et coups de colère, écrit ELLE.

La diva, déesse en latin, évolue avec notre histoire culturelle. Après les chanteuses d’opéra, les comédiennes à l’image de Sarah Bernhardt…

Au milieu du 20ème siècle, ce sont celles qui s’engagent, les reines afro-américaines du jazz et de la soul ! Billie Holiday en chef de fil, première femme noire à chanter dans un orchestre de jazz uniquement composé de musiciens blancs. Nina Simone ensuite lève le point et Aretha Franklin chante Respect !

Dans l’insouciance des années 80 et 90, la diva devient celle dont la voix met à genoux toutes les autres chanteuses. Elles s’appellent Whitney Houston, Mariah Carey et Céline Dion.

Et vous allez me demander ! Qui sont les divas d’aujourd’hui ?! Eh bien le magazine répond : une combinaison de toutes celles qui viennent d’être décrites… voix puissante, performances phénoménales et prises de paroles militantes. La Diva aujourd’hui, c’est elle : Beyonce diva du siècle !
Inspiration Diva ce sera une expo à Londres et c’est un article dans ELLE cette semaine