Un procès requis contre 20 personnes dans le dossier des attentats du 13-Novembre, le secrétaire général de l’OTAN répond à Macron, un jeune condamné à quatre mois de prison pour avoir fraudé Pôle Emploi

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Le Brief - Ce qu'il ne fallait pas manquer dans l'actu de ce vendredi 29 novembre à 12h : un procès requis contre 20 personnes dans le dossier des attentats du 13-Novembre, le secrétaire général de l’OTAN répond à Emmanuel Macron, un jeune condamné à quatre mois de prison pour avoir fraudé Pôle Emploi.

Un procès requis contre 20 personnes dans le dossier des attentats du 13-Novembre

Les contours du procès sur les attentats du 13 novembres 2015 se précisent. Le parquet national antiterroriste a annoncé vendredi avoir requis un procès aux assises contre 20 personnes. Parmi elles, Salah Abdeslam, le seul membre encore en vie des commandos terroristes, mais aussi six suspects actuellement visés par un mandat d'arrêt. Ce procès, qui s’annonce comme hors norme au regard de l’ampleur de l’enquête, devrait se tenir à Paris en 2021.

Le secrétaire général de l’OTAN répond à Emmanuel Macron

On vous en parlait dans le Brief de jeudi. Emmanuel Macron s’est montré plutôt critique vis-à-vis des alliés de la France au Sahel. Le président de la République leur a demandé une plus grande implication dans la lutte contre le terrorisme, trois jours après la mort de 13 militaires français au Mali. Mais ces critiques ne sont pas nécessairement du goût de Jens Stoltenberg, le secrétaire général de l’OTAN. Sur Europe 1 vendredi matin, ce responsable a rappelé que la France n’avait jamais formulé de demande d’aide auprès de l’OTAN. Selon lui, l’organisation, qui réunit 29 pays, pourrait offrir "un soutien important", et notamment dans les opérations de combats. Une condition toutefois : que la France le demande.

Un jeune condamné à quatre mois de prison pour avoir fraudé Pôle Emploi

Un jeune de 25 ans a été condamné à quatre mois de prison ferme et à une amende de 18.000 euros pour avoir fraudé après de Pôle emploi. La raison : ce demandeur d’emploi ne vivait plus en France mais en Turquie, son pays d’origine, raconte Ouest France. Il ne s’était jamais présenté à aucune convocation. Ce sont les vidéos et photographies postées sur son compte Facebook qui ont mis la puce à l’oreille des agents. Absent au moment de sa condamnation, ce jeune a également écopé d’une interdiction de venir en France de trois ans. Mais l’histoire ne dit pas comment l’administration compte récupérer l’argent.