Renault-fermeture : le gouvernement contre

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avec AFP , modifié à

Le ministre de l'Economie et des Finances Pierre Moscovici a réaffirmé mercredi l'opposition du gouvernement à tout licenciement ou fermeture de sites en France du constructeur automobile Renault, dont l'Etat est toujours le premier actionnaire, avec 15,01% du capital.

"Ce que nous attendons de Renault, c'est qu'il y ait deux lignes rouges qui ne soient pas franchies: (...) qu'il n'y ait pas de licenciements et, deuxièmement, qu'il n'y ait pas de fermeture de sites", a déclaré le ministre sur BFMTV/RMC, au moment où la direction et les syndicats du groupe sont engagés dans une négociation houleuse sur un accord de compétitivité.