"Avatar: la voie de l'eau", deuxième volet d'Avatar, est en salle depuis ce mercredi. 2:09
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Laurie Cholewa, Stephane Place, Clotilde Dumay et AFP , modifié à
Treize ans après la sortie du premier volet d'"Avatar", James Cameron signe un deuxième opus sous le signe de l'écologie et de la famille. Intitulé "Avatar : la voie de l'eau", ce volet continue de reprendre le chemin de l'astre Pandora, à des années-lumière de la Terre, pour une fable de science-fiction. 

Avatar 2 débarque ce mercredi en salles avec une triple ambition : surpasser le premier opus, plus gros succès de l'histoire du box-office mondial, démentir la mort du cinéma en salles et faire naître une saga aussi mythique que Star Wars. Treize ans après Avatar, qui a approché les trois milliards d'euros de recettes, Avatar : la voie de l'eau reprend le chemin de l'astre Pandora, à des années-lumière de la Terre, pour une fable de science-fiction à tonalité écolo. 

Laurie Cholewa, journaliste spécialiste de cinéma à Europe 1, est très enthousiasmée par ce nouvel opus : "C'est vraiment un pur chef-d'œuvre et une grande odyssée familiale. C'est un film qui suscite de l'émerveillement, qui éveille notre imaginaire. C'est une expérience unique de cinéma. Il faut vraiment se rendre compte que le cinéma prend tout son sens avec Avatar

La critique de cinéma perçoit dans ce deuxième volet "un hommage à la famille" : "C'est la force de James Cameron est de voir autant de technologie, de prouesses techniques, au service d'une histoire universelle sur les liens du sang. C'est aussi un hommage à la nature qu'il faut préserver. C'est un film grand spectacle !"

Relancer la fréquentation des salles de cinéma ?

Ce succès cinématographique quasi assuré est un soulagement pour les salles obscures qui connaissent des temps difficiles. Afin d'optimiser cette occasion de faire le plein de spectateurs, le cinéma Mégarama de Bordeaux a décidé de voir grand en investissant dans une technologie unique.

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"On a investi dans une salle I-MAX, une salle immersive avec une technologie forte sur la projection et le son. Elle a englobé un budget de quasiment 3 millions d'euros. On l'a voulu prête pour la sortie d'Avatar parce que c'est une sortie phare et tous les films ne sont pas disponibles dans le format I-MAX", explique François Garcès, directeur de cette bordelaise au micro d'Europe 1.

"L'écran est tellement démesuré et le gradinage de la salle est fait de telle sorte que vous êtes dans le film. Ce sont des réglages projecteurs qui ont pris beaucoup de temps. On a donc reçu une version d'Avatar optimisée pour ce projecteur. J'ai vu les deux premières minutes d'Avatar et c'est tout à fait extraordinaire !", conclut-il.