"Des excuses de leur part auraient été judicieuses", a déclaré mardi, au micro d'Europe 1, Deborah, mère du bébé mort in utero début février à la maternité de Port-Royal. D'après un rapport interne des hôpitaux de Paris, le décès du fœtus était inéluctable et la piste de l'erreur médicale est totalement écartée. Une version que contestent les parents.
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"On ne s'est jamais excusé", assure-t-elle, assurant aussi qu'on l'a "laissé repartir sans aucun suivi psychologique". "J'ai eu une infection post-accouchement que j'ai découverte toute seule ! Et puis il faut reconnaître l'erreur humaine. Quand on m'a fait rentrer à la maison, je disais quand même depuis trois jours que je sentais de moins en moins bouger mon bébé", se souvient-elle.