Vietnam, États-Unis, Kenya... Anne Hidalgo fait le tour du monde aux frais du contribuable et prépare sa reconversion
Anne Hidalgo fait le tour du monde. En moins de six mois, la maire de Paris a enchaîné pas moins de 12 voyages internationaux, en Italie, aux États-Unis ou encore au Kenya, aux frais du contribuable. Des dépenses mirobolantes, pour des voyages somptueux, avec un bilan carbone catastrophique qui permettent surtout à Anne Hidalgo de préparer son départ de la mairie de Paris.
C'est une candidature à peine masquée, mais Anne Hidalgo rêve d'être nommée haut-commissaire des Nations Unies pour les réfugiés. Un poste prestigieux avec un salaire extraordinaire, plus de 300.000 euros par mois, mais qui nécessite un large carnet d'adresse international.
"Nous ne sommes jamais informés", dénonce l'opposition
Alors Anne Hidalgo profite de ses derniers mois à la tête de la mairie de Paris pour lancer sa campagne. Homologues, responsables politique ou associatif, Anne Hidalgo enchaîne les rencontres aux quatre coins du monde. Une situation insupportable pour les élus de l'opposition.
"Nous ne sommes jamais informés et nous n'avons aucun retour sur l'utilité de ces voyages payés par le contribuable", dénonce le MoDem. "Sans parler du bilan carbone", ajoute la droite républicaine, alors qu'Anne Hidalgo s'est toujours dite à la pointe de l'écologie. "Elle est dans son rôle, elle doit faire rayonner la capitale", répond l'entourage de la maire de Paris qui assume totalement ce tour du monde.
