Les candidats investis de la majorité 1:26
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Arthur de Laborde, édité par Nathanaël Bentura , modifié à
La majorité présidentielle s'est mise en ordre de bataille ce mardi pour lancer la campagne des élections législatives. Tous les candidats du parti Renaissance (ex-LREM), du MoDem et de Horizons se sont réunis à Aubervilliers, en Seine-Saint-Denis pour une journée de formation, avant d'assister au discours d'Emmanuel Macron.

Les candidats investis par Renaissance (ex-LREM), le MoDem et de Horizons pour les élections législatives ont été accueillis à Aubervilliers, en Seine-Saint-Denis, ce mardi, pour suivre une journée de formation dédiée aux aspirants députés de la majorité. Plusieurs poids lourds du parti étaient présents, le président de l'Assemblée nationale, Richard Ferrand, qui a prononcé un discours, mais aussi Jean Castex, le Premier ministre, ainsi que plusieurs membres du gouvernement : Jean-Michel Blanquer, Olivier Véran et Gabriel Attal. Le président réélu Emmanuel Macron a également prononcé un discours en fin d'après-midi pour donner le coup d'envoi de la campagne.

Trois ateliers pour se préparer à la campagne

L'objectif de cette journée de réunions, afficher l'unité des différentes sensibilités de la majorité. Les candidats ont d'ailleurs posé tous ensemble pour une photo de famille, avant d'entamer le premier des trois ateliers de cette journée.

Au menu, d'abord, le programme à défendre pour ces législatives. Cet après-midi, ils ont été briefés sur la stratégie de campagne, avec là encore, une séance photo, mais individuelle cette fois. Il s'agit de réaliser des affiches qui seront placardées dans les circonscriptions. Les aspirants députés ont d'ailleurs le choix, soit d'y apparaître seul, soit aux côtés d'Emmanuel Macron, ce qui devait être l'option retenue par la plupart d'entre eux.

Le dernier atelier a été axé sur la stratégie de communication avant le discours de clôture du président de la République attendu ici à 18 heures, auquel les journalistes n'ont pas pu assister. Le chef de l'État, comme ses prédécesseurs, a lui-même validé toutes les investitures, enfin presque toutes, puisqu'une liste de 50 à 65 noms doit encore être révélée, a priori dans la journée.