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Le programme de la sixième chaîne, qui redémarre lundi soir, pousse le curseur de la survie à l'extrême, dans cette troisième saison qui s'annonce épique.

Douze hommes et dix femmes, âgés de 22 à 56 ans, débarquent sur un archipel du Pacifique. Leur but ? Survivre ! On pourrait penser que The Island se rapproche de Koh-Lanta, mais il n'en est rien. L'émission de M6, dont la troisième saison débute lundi soir à 21 heures, pousse le curseur de la survie à l'extrême. Et cette année, les règles ont changé.

Des groupes... qui s'ignorent. Pour la première fois, les aventuriers seront séparés, en quatre groupes. Un mixte de dix personnes, un autre de cinq, puis quatre femmes et enfin trois hommes. Tous débarquent dans un endroit de l'archipel différent et n'ont pas connaissance de la présence des autres équipes. C'est également la première fois que la production forme des groupes mixtes. "La mixité était l'évolution naturelle du format", assure Angélique Sansonnetti, productrice de l'émission, au micro d'Europe 1.

Rejoindre la civilisation. À The Island, les candidats ne gagnent rien, si ce n'est le prestige. Lors des deux précédentes saison, c'est Mike Horn, sorte de parrain de l'émission, qui venait chercher les aventuriers à l'issue de 28 jours de survie. Cette année, les choses changent ! Un village est situé dans l'archipel et pour clore l'expérience, les participants devront le rejoindre par eux-mêmes.

"Les aventuriers ne sont obligés de rien". Pour survivre, les aventuriers n'ont le droit qu'au strict minimum. Chaque groupe possède ainsi une machette et un couteau, une balise GPS, un téléphone satellite, un kit de premier secours, ainsi qu'un litre d'eau par personne. Aucune nourriture n'est donnée et ils doivent donc se sustenter par leurs propres moyens. À noter également que contrairement à Koh-Lanta, aucune équipe de tournage n'est présente et ce sont les aventuriers qui se filment.

Pour vous donner une idée de l'intensité du programme, on sait d'ores et déjà que deux candidats ont bu... leur urine. "Les aventuriers ne sont obligés à rien, ils sont complètement libres de leur faits et gestes et personne ne leur a dit de boire leur urine", affirme Angélique Sansonnetti.