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«L'image qui est donnée est souvent insultante» : Pascal Praud réagit aux attaques reçues en 2025

Europe1.fr . 1 min
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«L'image qui est donnée est souvent insultante» : Pascal Praud réagit aux attaques reçues en 2025 Europe 1 / © Europe 1

En 2025, Pascal Praud a connu une année remplie de succès aussi bien sur CNews que sur Europe 1 avec son émission "Pascal Praud et vous". Une année durant laquelle il a souvent été la cible d'attaques venant d'autres médias. Dans ENOFF, l'animateur évoque ces critiques.

L'année 2025 a été riche en succès pour Pascal Praud. L'animateur qui officie sur Europe 1 et CNews a malgré tout été la cible de nombreuses attaques venant de différents médias ces derniers mois. Au micro d'Olivier Guenec, dans #ENOFF disponible sur les réseaux sociaux d'Europe 1, il réagit à ces critiques. 

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"L'élection présidentielle arrive et on te tient pour responsable"

À la question, est-ce que ces attaques vous impactent ? L'animateur répond sans aucune hésitation : "Non, non. On est exposé et c'est ainsi. Je ne vous dis pas que ça fait plaisir. L'image qui est donnée de soi n'est pas juste, elle est souvent insultante". 

L'animateur ajoute que parfois il peut réagir à ces articles qui se ressemblent souvent : "Le papier, je peux vous l'écrire. C'est toujours le même, c'est formidable d'ailleurs. À chaque fois, les journalistes interrogent tous les gens qui ont travaillé avec moi. Comme manifestement ils ne disent pas du mal de moi, ils disparaissent dans le papier, il n'y a pas de témoignage". 

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Olivier Guenec lui demande ensuite pourquoi il y a eu plus d'attaques que les autres années. Selon l'animateur, le contexte que nous traversons joue un rôle : "Ça se tend un peu politiquement. L'élection présidentielle arrive et on te tient pour responsable. Dans certains courants politiques, il y a souvent des aspirations. Les peuples ont le sentiment parfois de ne pas être écoutés par ceux qui les dirigent, donc ils se tournent vers ceux qui n'ont pas été au pouvoir. Les médias accompagnent cela, souvent, témoignent de cela, mais ce ne sont pas les médias qui font les courants politiques".