Stéphane Bern : «Je n'imaginais pas qu'un jour je ferais la 500e d'Historiquement Vôtre»

Ce lundi marque la 500e d'"Historiquement Vôtre" sur Europe 1.
Ce lundi marque la 500e d'"Historiquement Vôtre" sur Europe 1. © Europe 1
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Pour la 500e d'"Historiquement Vôtre", Stéphane Bern et son équipe racontent l'Histoire au cœur de la résidence des rois de France en ouvrant ainsi le bal au château de Versailles. En costumes d'époque et en public, l'équipe souffle ses bougies dans une émission de deux heures pleine de surprises le lundi 9 janvier à 16 heures.

"On voulait créer l'événement." Pour fêter la 500e d'"Historiquement Vôtre", Stéphane Bern et son équipe se rendent ce lundi au château de Versailles dès 16 heures. Et c'est habillés de leurs plus beaux costumes du 18e siècle, qu'ils fêteront leur bougie, entourés d'un public venu célébrer lui aussi cette émission anniversaire.

"Je n'imaginais pas qu'un jour je ferais la 500e"

"Versailles est le lieu où l'on ouvre le bal, quand vous pensez à Histoire, vous pensez immédiatement à la galerie des Glaces, au château de Versailles. On voulait créer l'événement pour cette 500e, je n'imaginais pas qu'un jour je ferais la 500e d'"Historiquement Vôtre", je serai épuisé avant, eh bien non ! On a tenu le coup avec une équipe formidable, qui tous les jours est là et nous aide à faire en sorte que ces émissions existent", a-t-il confié au micro d'Europe 1 lundi.

Clémentine Portier-Kaltenbach, Jean-Luc Lemoine, David Castello-Lopes, Virginie Girod, Yvane Jacob, Philippe Charlier et Olivier Poels accompagneront Stéphane Bern qui, comme chaque jour entre 16 heures et 18 heures, racontera l'histoire de trois illustres personnages qui ne vivaient pas à la même époque, "qui n'ont rien à faire ensemble" mais qui ont tout de même un point commun, "souvent un peu humoristique". 

Pour cette 500e émission, les récits de Louis XV et son bal des Ifs seront contés ainsi que ceux de Charles de Beistegui et son bal du Siècle à Venise. Qui sera le troisième personnage ? Stéphane Bern l'ignore encore, "j'ai l'impression que ça va être ma fête", s'est-il esclaffé.