Liban : Macron annonce "des secours et moyens français en cours d’acheminement"

Emmanuel Macron Liban Annonces Président
Emmanuel Macron a indiqué que la France soutenait matériellement et humainement le Liban, frappé par deux puissantes explosions, mardi. © Ludovic MARIN / POOL / AFP
  • Copié
avec AFP , modifié à
Après les deux puissantes explosions qui ont fait au moins 27 morts et 2.500 blessés au Liban, Emmanuel Macron a exprimé sa "solidarité fraternelle avec les Libanais". Le chef de l'État a indiqué que la France était en train d'acheminer de l'aide matérielle et humaine à Beyrouth. 

"La France se tient aux côtés du Liban. Toujours." Alors que les deux très fortes explosions de Beyrouth ont fait au moins 27 morts et 2.500 blessés, Emmanuel Macron a tweeté, mardi soir, pour exprimer sa "solidarité fraternelle avec les Libanais". Dans son message posté avant 21 heures, le chef de l'État indique que "des secours et moyens français sont en cours d’acheminement sur place".

Les condoléances de la France

"J'exprime ma solidarité fraternelle avec les Libanais après l'explosion qui a fait tant de victimes et de dégâts ce soir à Beyrouth. La France se tient aux côtés du Liban. Toujours", a réagi sur Twitter le chef de l'État. 

 

"Des secours et moyens français sont en cours d'acheminement sur place", a ajouté le président de la République, peu après une première réaction du ministre des Affaires étrangères Jean-Yves Le Drian. "Alors que Beyrouth vient d'être durement touchée par des explosions, la France présente ses condoléances aux familles des victimes et souhaite un prompt rétablissement aux nombreux blessés", a réagi M. Le Drian, dans un tweet.

La cause des explosions à déterminer

Deux puissantes explosions ont secoué mardi Beyrouth, faisant au moins 27 morts et 2.500 blessés, semant la panique et provoquant un immense champignon de fumée dans le ciel de la capitale libanaise. Dans une première réaction, le directeur général de la Sûreté générale, Abbas Ibrahim, a déclaré que les explosions étaient peut-être dues à des "matières explosives confisquées depuis des années", mais ajouté que l'enquête en cours devrait déterminer "la nature exacte de l'incident".