Renault : des "accusations vicieuses"

  • Copié
, modifié à

Le ministère chinois du Commerce a lancé un appel mardi à la vigilance contre les "accusations vicieuses" contre la Chine pour vol de technologies de compagnies étrangères, suite à la mise en cause de ce pays dans le dossier d'espionnage chez le groupe français Renault. Début 2011, se disant victime d'espionnage industriel touchant ses batteries pour voitures électriques, le constructeur automobile français avait évoqué "une filière organisée internationale", et des informations de presse avaient affirmé que la Chine était le bénéficiaire de cet espionnage. Pékin avait alors réagi en qualifiant ces accusations de "totalement sans fondement, irresponsables et inacceptables".