"Conforter les régimes alliés des Etats-Unis" tout en affirmant que "l'Amérique n'est pas contre les arables et les musulmans" : voilà, selon Antoine Sfeir, le double objectif de la visite de Barack Obama à Ryad, mercredi, et au Caire, jeudi.
En se rendant au Caire, Barack Obama va également contribuer à replacer Le Caire "au coeur du monde arabe", estime le spécialiste du Proche-Orient.
Interrogé sur la popularité du nouveau président américain dans le monde arabe, Antoine Sfeir estime que, "automatiquement", la comparaison avec son prédécesseur George W. Bush, joue en faveur de Barack Obama.