Tout le monde l’attendait sur la crise des Rohyngas. Le pape François ne l’aura pas évoquée directement. Parlant de violence, de paix et de pardon, le souverain pontife s’adressait aussi aux autres minorités en conflit avec l’armée birmane comme les Kachins, une ethnie du nord, essentiellement chrétienne et dont les membres étaient venus par milliers assister à la messe célébrée par le pape mercredi à Rangoon.