Tous les jours de la semaine, Europe 1 décrypte trois articles de la presse du jour.
Malgré l’inflation, les Français n’ont pas rogné sur leur budget lunettes. C'est à lire ce matin dans les pages éco du Figaro.
Les lunettes, c’est cher et ce n’est pas très bien remboursé.
Qu’est-ce qu’on voit dans les galeries commerciales ? Que les opticiens se portent bien mieux que le prêt-à-porter ou la déco. Les opticiens ont fait +4 à 5% de croissance l’année dernière.
Il y a plein de raisons à cela, que nous détaille le Figaro.
Déjà, le vieillissement de la population. On a de plus en plus besoin de lunettes.
Le télétravail avec lequel on s’est rendu compte qu’il fallait prendre soin de ses yeux.
Le bonheur des opticiens, c’est aussi le développement de la myopie. Nous sommes de plus en plus myopes à cause des écrans.
Il y a autre chose, c’est un mode de vie où les enfants jouent plus souvent à l’intérieur. Ils n’ont plus la possibilité de regarder au loin.
Bon, et puis dernière raison à la bonne santé des opticiens c'est l’innovation. Les verres sont de plus en plus performants, des verres progressifs, aux verres connectés en passant par les verres anti-myopie, tout ça porte la croissance des ventes de lunettes.
C’est la photo du jour dans Les Echos !
Il s’agit de la serviette en papier sur laquelle la star du football Lionel Messi a obtenu la promesse de son premier contrat, promesse émanant du FC Barcelone. Il se trouve que ce petit bout de papier fragile, ce morceau de l’histoire du foot, est mis aux enchères !
Cette histoire, d’ailleurs, est célèbre et peut être que vous la connaissez déjà.
On est en 2000, Lionel Messi a 13 ans, il est repéré par le Barça mais au sein du staff, on n’est pas encore convaincu par le potentiel du jeune joueur argentin. Et l’affaire traîne en longueur. Jusqu’à ce jour fatidique du 14 décembre 2000. Lionel Messi et son père ont rendez-vous avec le directeur sportif du club Carles Rexach (carlèsse Reussaque) et avec deux agents sportifs.
Et ce Carles Rexach (carlèsse Reussaque) n’a pas l’intention de passer à côté de ce nouveau prodige du ballon rond qui a fait ses armes dans l’un des quartiers populaires de Rosario en Argentine. Il écrit donc à l’encre bleue, sur une simple serviette, qu’il « accepte, sous sa responsabilité et en dépit de toute opinion divergente, de faire signer le joueur Lionel Messi, à condition que nous respections les montants convenus ». On voit bien la signature du jeune Lionel Messi qui a inscrit simplement « Léo »
Un vrai contrat sera signé plus tard ?
Oui peu de temps après même ! Et donc l’un des agents présents à soigneusement conservé, pendant presque 25 ans, cette serviette en papier devenue légendaire… une relique qu’il a décidé de vendre aux enchères.
Elle vaut combien cette serviette en papier ?
Chère ! Estimation ? entre 350.000 et 580.000 euros. Mais son prix devrait s’envoler. La vente sur internet a commencé hier et doit s’achever le 27 mars.
C’est dans Les Echos et dans Ouest France notamment.
