Des réalisateurs français se mobilisent contre les violences sexuelles, attention aux intoxications au monoxyde de carbone, les footballeuses espagnoles en grève illimitée

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Le Brief - Ce qu'il ne fallait pas manquer dans l'actu de ce vendredi 15 novembre à 18h : des réalisateurs français se mobilisent contre les violences sexuelles, attention aux intoxications au monoxyde de carbone, les footballeuses espagnoles en grève illimitée. 

La société des réalisateurs de films demandent des États généraux sur les violences sexuelles 

La vague MeToo secoue le cinéma français. La société des réalisateurs de films, l’une des principales organisations de cinéastes, a réagi. Elle appelle aujourd’hui à des Etats généraux sur les violences sexuelles dans le 7e art. Le cinéma français est dans la tourmente ces dernières semaines, après les accusations de l’actrice Adèle Haenel contre le réalisateur Christophe Ruggia. Roman Polanski a lui été accusé de viol, par la photographe Valentine Monnier. Alors, est-ce le début d’une vraie prise de conscience dans le monde du cinéma ? Réponse dans les prochains mois.

La direction générale de la santé met en garde contre les intoxications au monoxyde de carbone

Attention aux intoxications au monoxyde de carbone. La direction générale de la santé lance aujourd’hui une mise en garde, alors que le froid commence à arriver sur toute la France. Ce gaz toxique est responsable d’une centaine de morts chaque année. Il faut attentivement surveiller les appareils qui utilisent du gaz naturel, du bois ou encore du fuel. Pour éviter l’intoxication, un geste simple : aérez au moins 10 minutes votre logement, tous les jours, même si il fait froid. Autre conseil : ne jamais utiliser les chauffages d’appoint en continu.

Les footballeuses du championnat d'Espagne en grève pour réclamer des augmentations de salaire 

Les footballeuses du championnat d’Espagne sont en colère. Elles demandent des augmentations de salaire, mais pour l’instant les négociations sont au point mort. Du coup elles vont se mettre en grève à partir de demain, pour une durée illimitée. Les footballeuses discutent depuis un an pour gagner plus. Elles réclament un minimum de 16.000 euros par an. Les clubs, eux, n’en proposent que la moitié, soit 8.000 euros. Les matches de ce week-end pourraient donc être carrément annulés.