Affaire Kardashian : la conférence de presse du Procureur François Molins !

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Le procureur François Molins fait le point sur l'agression dont a été victime Kim Kardashian à Paris.

Ce matin, c’est l’agression subie par la star de télé américaine Kim Kardashian qui est à la Une.

Julie : Vous le savez, la jeune femme s’est faite agresser hier matin par de faux policiers à son hôtel particulier parisien. Tout de suite la conférence de presse du Procureur François Molins.

Julie : Quels sont les faits monsieur le Procureur ?

François Molins : Bonjour à tous. Hier, dans la matinée du lundi 3 octobre 2016, un groupe d’assaillants de type "masqué" constitué de faux policiers au nombre de deux, (Les policiers sont toujours au nombre de deux, y’a celui qui lit, celui qui écrit. S’ils veulent venir avec celui qui compte, faut faire une demande la veille dans les services.) Ce groupe est entré au domicile provisoire de Madame West – Kardashian, que nous appellerons « Hôtel particulier parthouzatif ». Tout le monde a l’image. La dite jeune femme était alors en train de tenter de se verser un Geroboam de Veuve Cliquot dans une coupe de Champagne, posée sur son postérieur. Activité pour un lundi matin 5h50, apparemment fréquente dans la famille. Le binôme de maréchaussée fictive, aurait soi-disant exposé à la future victime, qu’en raison du plan Vigipirate écarlate, une série de fouilles au corps se devait d’être effectuée au domicile des Parisiens de sexe féminin. Madame West-Kardashian s’est alors immédiatement délestée de tout son arsenal vestimentaire, c’est-à-dire le seul chouchou qu’elle avait dans les cheveux. Les deux faux policiers ont ensuite pratiqué un "palpé poitrinaire" d’une durée de 120 minutes. A l’issue de la durée sus-nommée, ils sont ensuite passés au sein gauche, pour 120 minutes supplémentaires. Au bout des dites quatre heures, Madame West-Kardashian nous indique qu’elle a commencé à avoir quelques soupçons. On peut se demander alors qu’elle était l’utilité pour elle d’avoir du personnel de sécurité rapprochée à demeure.

Julie : Oui quelle était l’utilité, monsieur le Procureur ?

François Molins : Très bonne question, Julie. Ca c’est de la Julie connectée, c’est de la Julie durable. Il semblerait, selon la Police Judiciaire de Paris VIII Champs-Elysées Montaigne, que les trois hommes présents dans la chambre afférente, n’auraient rien entendu, tout occupés qu’ils étaient à essayer les vêtements de Madame West- Kardashian. Oui, je confirme, on est vraiment sur une typologie d’agression où les victimes sont encore plus cinglées que les assaillants.              

Julie : Dans quel état avez-vous retrouvé la victime, monsieur le Procureur ?

François Molins : Madame West-Kardashian a été retrouvée "saucissonnée", ligotée de la tête aux pieds avec une corde. Vu le nombre de mètres de corde nécessaire pour entourer la victime, on privilégie pour le moment la piste d’un gang d’alpinistes. Ils sont repartis avec un butin de dix millions d’Euros. Nous savons néanmoins avec certitude où sont allés les agresseurs.

Julie : Où sont-ils allés monsieur le Procureur ?     

François Molins : C’est bien, vous êtes sur la balle, Julie. Vous êtes sur le coup. C’est les frères Karabatic. Les agresseurs auraient continué leur virée « mammaire » déchaînée en se rendant au domicile d’une certaine Nabilla B. Laquelle leur aurait asséné près de 47 coups de couteau de boucher avant même qu’ils passent la porte d’entrée. C’est pas la même limonade. Les agresseurs se seraient écriés « Non mais allo ! T’es agresseur et tu fais agresser, non mais allo quoi ! » Pour conclure, je demanderais à toutes les Parisiennes aux mensurations supérieures à 120 D, de se rendre immédiatement à la PJ de Nanterre afin que nous puissions assurer leur sécurité.