Les services de renseignements français redoutent, depuis l'attentat à Moscou, l'activation de cellules dormantes de combattants, déjà présents sur le territoire, de la branche afghane de l'État islamique. Profil, âge, localisation... Europe 1 dresse le portrait-robot du radicalisé fiché, alors qu'ils sont un peu plus 20.000 en France.