Ce mardi, sur Europe 1, Agnès Verdier-Molinié s'intéresse à la surprenante décision de la Commission européenne de suspendre temporairement la procédure pour déficit excessif visant la France.
gnès Verdier-Molinié analyse les récentes déclarations de la ministre des Comptes publics, Amélie de Montchalin, sur les risques de voir le FMI imposer des réformes à la France si elle ne les mène pas elle-même. Elle explique que malgré les discours rassurants, la France reste sous la procédure pour déficit excessif de la Commission européenne et que le FMI pourrait être appelé en renfort en cas de crise de la dette, comme cela s'est produit en Grèce.
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